lundi 16 février 2015

©ParadeDisneylandNoël2011odeThomasandréphotophotopeintureMartineAnciauxa...

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  1. ©ParadeDisneylandNoël2011odeThomasandréphotophotopeintureMartineAnciauxartphotographer monde webtv ©
    décembre 2011, noël, parade Fantillusion de Disneyland PARIS.Cette parade ou les lumières brillaient de mille feux,ou les charsTout décorés, avançaient au pas et ou petits, et grands, étions comme subjugués Par ce spectacle, ou les personnages jouaient avec nous, et parachevaient La fête.

    ©LA PARADE POEME THOMAS ANDRE©
    Comme des enfants, nous nous étions mis, très au bord,
    Bien avant, qu’elle ne commence,
    Pour mieux la voir d’abord,
    L’apprécier ensuite, et surtout, se forger des images, comme une semence,
    Pour que notre cerveau d’adulte, puisse voir le rêve,
    Ce que dès l’enfance, nous cherchons sans trêve.
    Voir ce passage de chars, tous illuminés et décorés,
    Qui nous évoquent, notre jeunesse toute dorée.
    Le long cortège, se promène,
    Avec des sensations diverses,
    Quelle chance, il ne pleut pas averses,
    Ne voulant rien manquer de ces attractions, qui nous emmènent
    Dans le monde merveilleux de Walt Disney,
    Où bien sûr on ne peut manquer Mickey,
    Nos yeux cherchent ces lumières,
    Et quand enfin nous les découvrons, nous n’en sommes pas peu fier,
    En fait un sentiment couvre tout le reste,
    C’est la garniture qui complète l’approche par un zeste,
    Non de citron, mais de personnages,
    Qui dans notre esprit n’ont plus d’âge.
    L’enfant qui sommeille, en nous,
    Se remémore, de tout, vous le savez bien, vous,
    Quand petit, nos parents nous amenaient voir, ces dessins animés,
    Qui nous rendaient sages, et intrigués, le temps de ces films animés.
    Pendant la séance, bizarrement les enfants faisaient silence,
    Et découvraient l’image du bien, et du mal,
    Voyant au cinéma, où peut se cacher le mal,
    Et adorant, quand le bien, finissait par gagner, avec patience.
    Ces lampes qui éclairent, cette route,
    Où le public est massé, comme des rangs d’oignons
    Complètement amassés pour voir, ce défilé si mignon.
    Ne pensant qu’à une chose, voir le beau cortège, sur cette route.
    Pleinement à ce spectacle,
    Nous ne cherchons, qu’à voir ce spectacle,
    Qui nous propulse, dans un autre monde,
    Et nous accompagne un moment, loin de la dure réalité, de notre monde.
    Quand le dernier char, est passé,
    On court, pour plus loin, le voir repasser,
    Comme si on voulait, que jamais ne s’arrête, cet instant,
    Ce moment, d’intense bonheur de ce présent si important.
    google traduction
    © POEME THOMAS ANDRE THE PARADE ©

    As children, we were made very to the edge,
    Long before it begins,
    To better see first,
    The then appreciate, above all, to form images, such as a seed,

    For our adult brain, can see the dream,
    That from childhood we seek without truce.
    See this passage of tanks, all illuminated and decorated,
    Who we evoke our gilded youth.
    The long procession, walks,
    With different sensations,
    What luck, it does not rain showers
    Not wanting to miss any of these attractions, which take us

    In the wonderful world of Walt Disney,
    Where of course one can not miss Mickey
    Our eyes seek these lights,
    And when at last we find them, we are very proud,
    In fact a sense covers everything,
    This is the trim that complements the approach by a peel,
    No lemon, but characters,
    Which in our mind no longer age.
    The inner child in us
    Recalls, everything, you know, you,
    When small, our parents would take us to see these cartoons,
    Who made us wise, and intrigued, the time these animated films.
    During the session, the children were strangely silent,
    And discovered the image of good and evil,
    Seeing cinema, which can hide evil,
    And adoring, when good, ended up winning with patience.
    These lamps that illuminate this road,
    Where the public is massaged like a Row
    Completely raised to see it so cute show.
    Thinking only one thing, see the beautiful procession on that road.
    Fully in this show,
    We seek, to see this show,
    That propels us into another world,
    And accompanies us for a while, away from the harsh reality of our world.
    When the last car, happened,
    We run for further, see board,
    As if we wanted that never stops, this time,
    This moment of intense happiness of this now so important.

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