jeudi 12 février 2015

©AutomneodeThomasAndréphotophotopeintureMartineAnciauxcréatorphotopainti...

1 commentaire:

  1. mise à jour,titre,tags, et présentation de ce photo-poème ©AutomneodeThomasAndréphotophotopeintureMartineAnciauxcréatorphotopaintingartphotographermondewebtv©
    Ajoutée le 13 oct. 2012
    THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète, http://thomasandre.orgfree.com/poemes.html
    MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting,
    Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,créateur de la photo-peinture
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com

    Pour écrire ce poème je me suis inspirès des superbes photos de
    MARTINE ANCIAUX photographe d'art et créatrice de la photo-peinture
    http://www.anciaux-photos .fr, http://www.anciauxmartine.com,
    En 2003, l'automne en Cévennes était fantastique,
    Les arbres avaient gardés une force,et leurs couleurs étaient magnifiques,
    Les feuilles n'étaient pas encore toute tombés, et elle s'ingéniés à faire
    De belles parures à leurs branches et leurs troncs, donnant un air,
    Encore très vivant à une saison qui représente
    La chute des feuilles, et aussi le début de l'hivernage, se parant de ses couleurs,
    Si belles et en même temps si mélancoliques qui conditionne le passage
    De la nature après un été rayonnant vers des jours raccourcis et pluvieux.

    ©AUTOMNE poème THOMAS André©

    Comme la fin d'un jour,
    L'automne est le crépuscule des saisons,
    Le moment ou la nature opère sa mutation sans retour,
    Ou sa vie va se transformer doucement sans raison,

    Car enfin, pourquoi se renouvellement,
    Pourquoi tant de changement,
    Et combien de transformations,
    Avant que l'arbre dénudé reste la en station.

    Au premières couleurs de rouge,
    Se passent la transition,
    Opérant sur les feuilles leurs premières colorations,
    Les transformant rapidement avant qu'elle ne bougent,

    En effet aux premiers souffles de vent,
    Ce tronc qui les portaient si fièrement,
    Se dénudent rapidement,
    Et comme un arbre mort se métamorphose rapidement,

    Je me suis toujours demander,
    Quelle sensation cet arbre encore couvert la veille de sa parure,
    Pouvait ressentir en se retrouvant nu au petit matin sans fioriture,
    Comment était il capable de l'accepter.

    Alors presque imperceptiblement il s’endormira,
    Mettant en œuvre toutes ces défenses,
    pour subir les durs frimas,
    Et lentement atteindre le matin du printemps.

    RépondreSupprimer