lundi 2 février 2015

la poesie et la photographie d'art: ©MarynelandodeThomasandréphotoMartineAnciauxartpho...

la poesie et la photographie d'art: ©MarynelandodeThomasandréphotoMartineAnciauxartpho...

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  1. ©MARYNELAND POEME DE THOMAS ANDRE©

    C’est le royaume de la faune aquatique,
    Celle, que l’on a pas l’occasion de voir,
    Celle des rêves d’enfants, dans les livres de notre savoir.
    A MARYNELAND, nos yeux deviennent des signaux optiques,

    Comme si l’on voulait s’adresser à nos amis les animaux,
    Chaque mimique est enthousiasmante, et nous laisse haletant,
    Nous rendant heureux, et passionné de nos ancêtres survivants.
    Nous qui sommes comme eux, des animaux.

    Pas dans le sens péjoratif,
    Mais dans celui distinctif,
    Eux aussi, ont tous une grande intelligence,
    D’ailleurs, nous n’avons pas encore percé leur langage, cela alimente nos différences.

    Ce qui prouve leur complexité,
    Car nous avons traduit, les hiéroglyphes égyptiennes,
    Les civilisations mayas et aztèques sans trop de difficultés,
    Les poissons habitaient notre terre avant nous, et s’y maintienne,

    Si l’homme, avec sa soif de la consommation,
    Ne finit pas par tuer, ce qui a toujours été notre vivier à provisions,
    Depuis des siècles, gare aux progrès, qui peut nous ôter notre pain quotidien.
    C’est cette réflexion que j’ai ressenti ici, dans ce parc d’attraction, entretenu aussi bien.

    Alors, j’ai pus confirmer mes hypothèses sur les cétacés, insistant sur des valeurs,
    Ces mammifères qui pèsent plus six tonnes, les orques
    Et qui avec un grand bonheur jouent avec leurs dresseurs,
    Nous démontrent leurs compréhensions et rétorquent,

    Aux esprits chagrins, en affichant leurs puissance,
    Et la maîtrise de celle-ci, pour nous emmener vers une sorte d’insouciance
    De la pesanteur, nous laissant admiratifs,
    Et aussi ahuris, par leurs prouesses, nous restons quelque peu dubitatifs.

    C’est comme ces manchots, ils vivent toujours en groupe,
    Tous est structuré et ici le groupe,
    Nous fait chercher l’individualité, la marque de la différence,
    Pour pouvoir mettre en valeur à notre idée, une certaine référence.

    Il y a aussi ses dauphins,
    Pour moi, je dirai que sur terre, le chien est le meilleur ami de l’homme,
    Et que sur mer, ce sont les dauphins.
    Comme ne pas être en admiration, devant une telle gentillesse pour les hommes.

    Et cet humain, au point de vue militaire,
    S’en sert pour poser des mines aimantées,
    Afin de pouvoir faire sauter, cela semble un peu sectaire,
    L’homme, est toujours étrange, dans son comportement, même un peu déjanté.

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