Il y a longtemps sur une planète qu’on appelle terre, Des hommes, et des femmes, ont donné leurs vies pour que tu sois libre. Toi, l’homme du 21eme siècle, si heureux d’être sur terre, Sans que tu te rendes bien compte, de ce que veux dire Libre.
Le 6 juin 1944, sur les côtes normandes, de nombreux soldats sont morts, Pour nous libérer du nazisme, et nous faire vivre notre vie de ce jour. Où le mot liberté, est brandi comme un étendard sans support, Et que chacun, veut chérir en son pays pour toujours.
A cette époque, cette opération fut très meurtrière, Sous le feu nourri des allemands, français, américains, canadiens,anglais, S’efforcèrent de gagner la plage, malgré des conditions dignes d’une souricière. Du courage, il en fallait, et les pertes s’accumulaient.
Mais jamais,ils ont douté, Et ces braves nous ont délivrés, Nous offrant la joie de la liberté, Celle que l’on cherche, pour la vérité.
Celle qui nous motive Quand le joug est si fort, et si destructif, Nous abrogeant un espace de vie qui s’esquive, Sous la force du pouvoir abusif.
Nous avons rendu hommage, à ces héros, Ceux, qui ont aussi fait face aux zéros, Dans le pacifique, pour retrouver la dignité, Celle des peuples bafoués et opprimés, dans leurs sensibilités.
Aujourd‘hui, de grands cimetières, nous rappelle ce temps, Pourtant pas si lointain, où l’écoute d’une radio était interdite, Et chaque soir, on écoutait radio Londres pour croire à un autre temps, Jusqu’à ce fameux soir, où le message diffusé était symbole d’une vérité prescrite.
Les vers du débarquement furent les suivants: «Les sanglots longs des violons de l'automne, Blessent mon coeur d'une langueur monotone..." Ces vers de VERLAINE, donnaient le signal pour les assaillants.
©D.DAY POEME DE THOMAS ANDRE©
RépondreSupprimerIl y a longtemps sur une planète qu’on appelle terre,
Des hommes, et des femmes, ont donné leurs vies pour que tu sois libre.
Toi, l’homme du 21eme siècle, si heureux d’être sur terre,
Sans que tu te rendes bien compte, de ce que veux dire Libre.
Le 6 juin 1944, sur les côtes normandes, de nombreux soldats sont morts,
Pour nous libérer du nazisme, et nous faire vivre notre vie de ce jour.
Où le mot liberté, est brandi comme un étendard sans support,
Et que chacun, veut chérir en son pays pour toujours.
A cette époque, cette opération fut très meurtrière,
Sous le feu nourri des allemands, français, américains, canadiens,anglais,
S’efforcèrent de gagner la plage, malgré des conditions dignes d’une souricière.
Du courage, il en fallait, et les pertes s’accumulaient.
Mais jamais,ils ont douté,
Et ces braves nous ont délivrés,
Nous offrant la joie de la liberté,
Celle que l’on cherche, pour la vérité.
Celle qui nous motive
Quand le joug est si fort, et si destructif,
Nous abrogeant un espace de vie qui s’esquive,
Sous la force du pouvoir abusif.
Nous avons rendu hommage, à ces héros,
Ceux, qui ont aussi fait face aux zéros,
Dans le pacifique, pour retrouver la dignité,
Celle des peuples bafoués et opprimés, dans leurs sensibilités.
Aujourd‘hui, de grands cimetières, nous rappelle ce temps,
Pourtant pas si lointain, où l’écoute d’une radio était interdite,
Et chaque soir, on écoutait radio Londres pour croire à un autre temps,
Jusqu’à ce fameux soir, où le message diffusé était symbole d’une vérité prescrite.
Les vers du débarquement furent les suivants:
«Les sanglots longs des violons de l'automne,
Blessent mon coeur d'une langueur monotone..."
Ces vers de VERLAINE, donnaient le signal pour les assaillants.