©YELLOWSTONE Poème THOMAS ANDRE©Ici, à l’aéroport de CODY,Nous sommes en pays de légende,C’est là où a vécu BUFFALO BILL CODY.C’est grâce à ses faits d’arme que ce cow boy est devenu une légende.Il est important de savoir qu’à l’intérieur du parc, se cache un volcan éteint,Cette information est connue, et souvent employée dans les films catastrophes,Que produit HOLLYWOOD, l’homme adore se faire peur avec ces films catastrophes,Dans sa vie virtuelle, où il sait qu’il ne peut être atteint.Ce qui frappe c’est son immensité,C’et aussi sa diversité.Vaste prairie largement dégagée,Un peu plus loin un grand lac par des montagnes bordé.Une atmosphère d’un autre monde,Ou d’une autre galaxie, comme dans Sart trek à la télévision.Nous sommes les aventuriers de ce nouveau monde,Une chaleur moite se dégage, et alourdit l’air ambiant et nos sensations.Un peu par hasard on trouve des animaux,Alors un peu troublé, et en même temps content de se rassurer,On prend le de voir et de contempler,Quel merveilleux paysage habité, par ces magnifiques animauxA ce moment nous les explorateurs du futur,Devons prendre garde, à ne pas être transformé comme dans le film « ARTHUR ……. ».Il nous faut toute notre attention à tous les bruits,Ici et là des glup, glup avec des bulles en surface, là des jets de vapeurs.En plein centre d’une terre désertique,Au milieu d’un champ, s’échappe avec fracas une colonne de vapeur,Les membres de l’expédition sont cloués de stupeur,Sur ce sol glacé s’élève des profondeurs ce geyser magnifique.Ici la nature est comme fossilisé,Dans un périmètre assez court, la vie végétale et animale a cessée.En temps que chef, j’immobilise l’équipe afin de la protéger,Et demande des prélèvements rapides pour pouvoir continuer.Le médecin biologiste à analysé ce liquide,Qui ressemble à de la rouille sans en être, les émanations de soufre nous font tousser.Le résultat nous permet de continuer notre exploration scientifique,Plus rassuré, mais encore inquiète, l’équipe peut continuer.Plus loin, nous découvrons une piscine minérale couleur saphir dans la neige,Cette eau donne envie, il me faut prendre sur moi pour demander des analyses,Des protestations fusent, le médecin opère en se frayant un chemin dans la neige,Pourront nous nous baigner? Ils s’entendent dire, après les analyses.Le docteur donna la sentence, complètement impropre à la baignade,L’équipage se sentit brimé et marqua un temps d’arrêt.Après, une autocritique intérieure, nous fîmes le deuil de la baignadeNous reprîmes la progression sur le plancher de bois l’œil au aguets.Une chose nous perturbait, l’eau était infestée de bactéries,Et nous voyons de l’herbe et des fleurs, comment cela pouvait-il se faire,A mois qu’entre la sortie de l’eau se trouve des filtres à sable naturels en batteries.L’interrogation avait fait jour dans le groupe, cet embryon de réponse devrait nous satisfaire.A quelques pas de là, je vis qu’elle chose par terre.Je me baissais, et souleva avec beaucoup de précaution, cet objet inconnu de terre.Je fus surpris c’était un plan mais en langue étrangère,Je demandais à l’équipage, si quelqu’un savait traduire cette langue peu familière.Puis nous eûmes comme une révélation,Au détour d’un chemin nous vîmes comme une apparition.Devant nous, se dévoiler un moment d’éternitéA sa vue, les exclamations jaillirent avec une réelle sincérité.Au loin on entendit le bruit d’une cascade féerique,Comme dans le film AVATAR, quel décor romantique !Livrant enfin ce que l’on était venu chercher, la pierre jaune de l’Union.Ce n’était pas de l’or, mais un précieux mélange qui sauverait notre civilisation.Alors l’équipe toute entière était en communion,Nous avions mené à bien notre dangereuse mission.Soulagé de la lourde responsabilité que ce petit groupe d’individu avait assumé,Pouvoir et transmettre ce que l’on a vu, en rapportant le « YELLOWSTONE » à nos cotés.
©YELLOWSTONE Poème THOMAS ANDRE©
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Nous sommes en pays de légende,
C’est là où a vécu BUFFALO BILL CODY.
C’est grâce à ses faits d’arme que ce cow boy est devenu une légende.
Il est important de savoir qu’à l’intérieur du parc, se cache un volcan éteint,
Cette information est connue, et souvent employée dans les films catastrophes,
Que produit HOLLYWOOD, l’homme adore se faire peur avec ces films catastrophes,
Dans sa vie virtuelle, où il sait qu’il ne peut être atteint.
Ce qui frappe c’est son immensité,
C’et aussi sa diversité.
Vaste prairie largement dégagée,
Un peu plus loin un grand lac par des montagnes bordé.
Une atmosphère d’un autre monde,
Ou d’une autre galaxie, comme dans Sart trek à la télévision.
Nous sommes les aventuriers de ce nouveau monde,
Une chaleur moite se dégage, et alourdit l’air ambiant et nos sensations.
Un peu par hasard on trouve des animaux,
Alors un peu troublé, et en même temps content de se rassurer,
On prend le de voir et de contempler,
Quel merveilleux paysage habité, par ces magnifiques animaux
A ce moment nous les explorateurs du futur,
Devons prendre garde, à ne pas être transformé comme dans le film « ARTHUR ……. ».
Il nous faut toute notre attention à tous les bruits,
Ici et là des glup, glup avec des bulles en surface, là des jets de vapeurs.
En plein centre d’une terre désertique,
Au milieu d’un champ, s’échappe avec fracas une colonne de vapeur,
Les membres de l’expédition sont cloués de stupeur,
Sur ce sol glacé s’élève des profondeurs ce geyser magnifique.
Ici la nature est comme fossilisé,
Dans un périmètre assez court, la vie végétale et animale a cessée.
En temps que chef, j’immobilise l’équipe afin de la protéger,
Et demande des prélèvements rapides pour pouvoir continuer.
Le médecin biologiste à analysé ce liquide,
Qui ressemble à de la rouille sans en être, les émanations de soufre nous font tousser.
Le résultat nous permet de continuer notre exploration scientifique,
Plus rassuré, mais encore inquiète, l’équipe peut continuer.
Plus loin, nous découvrons une piscine minérale couleur saphir dans la neige,
Cette eau donne envie, il me faut prendre sur moi pour demander des analyses,
Des protestations fusent, le médecin opère en se frayant un chemin dans la neige,
Pourront nous nous baigner? Ils s’entendent dire, après les analyses.
Le docteur donna la sentence, complètement impropre à la baignade,
L’équipage se sentit brimé et marqua un temps d’arrêt.
Après, une autocritique intérieure, nous fîmes le deuil de la baignade
Nous reprîmes la progression sur le plancher de bois l’œil au aguets.
Une chose nous perturbait, l’eau était infestée de bactéries,
Et nous voyons de l’herbe et des fleurs, comment cela pouvait-il se faire,
A mois qu’entre la sortie de l’eau se trouve des filtres à sable naturels en batteries.
L’interrogation avait fait jour dans le groupe, cet embryon de réponse devrait nous satisfaire.
A quelques pas de là, je vis qu’elle chose par terre.
Je me baissais, et souleva avec beaucoup de précaution, cet objet inconnu de terre.
Je fus surpris c’était un plan mais en langue étrangère,
Je demandais à l’équipage, si quelqu’un savait traduire cette langue peu familière.
Puis nous eûmes comme une révélation,
Au détour d’un chemin nous vîmes comme une apparition.
Devant nous, se dévoiler un moment d’éternité
A sa vue, les exclamations jaillirent avec une réelle sincérité.
Au loin on entendit le bruit d’une cascade féerique,
Comme dans le film AVATAR, quel décor romantique !
Livrant enfin ce que l’on était venu chercher, la pierre jaune de l’Union.
Ce n’était pas de l’or, mais un précieux mélange qui sauverait notre civilisation.
Alors l’équipe toute entière était en communion,
Nous avions mené à bien notre dangereuse mission.
Soulagé de la lourde responsabilité que ce petit groupe d’individu avait assumé,
Pouvoir et transmettre ce que l’on a vu, en rapportant le « YELLOWSTONE » à nos cotés.