Aujourd’hui, tu as connu la consécration Le pape BENOIT 16 t’a accordé la sacralisation. On vient de te nommer basilique, Et en ton sein a eu lieu une messe eucharistique.
Sous tes très grandes voûtes que Gaudi a imaginé, Catholique reconnue tu deviens, et on a lu le rosaire. Réalisant le vœu pieu de ce génie visionnaire, Ton concepteur, qui rend grâce à Dieu en vérité.
Sa foi se découvre dans son œuvre non achevée, Par son gigantisme, il montre son espérance, Par ses ogives et ses formes, c’est la recherche de la pureté, Dans la profondeur de la basilique, il montre sa croyance.
Chassant certainement le doute qui le mine, Lors de son élévation, inlassablement il construit l’ouvrage. N’ayant de cesse de le finir comme un hommage, Au créateur et à la prière qui l’anime.
En 2008, à BARCELONE quand pour la première fois je t’ai vue, Sur tes marches je suis resté stupéfait. Mes yeux n’étaient pas assez grands pour voir ce que je voyais, Tant d’amour et de dévotion stylisés sur tes façades offertes à notre vue.
Je suis Catholique et Croyant mais je l’avoue peu pratiquant, Car pour moi l’église est un refuge où l’on parle seul à Dieu, Lui confiant tous nos meaux et lui demandant, De souvent nous aider, car pour nous notre soutien c’est DIEU.
Entrant en ton église en plein travaux, et avec tous ses visiteurs, Mon être profond a senti que tu étais là avec tous ses spectateurs, Venus rendre grâce aux dons que les hommes t’avaient faits, Je me suis dit qu’on lieu de nous détruire, on pourrait chercher l’accord parfait.
Ta basilique est lumière, Et de cela Gaudi peut en être très fière. Large et haute comme pour mieux respirer, On se sent malgré le bruit et les voix qui s’élèvent prêts à prier.
Et je me dis que l’homme est capable de grandes constructions pour t’honorer, Pourquoi ne le met il pas en œuvre dans notre civilisation, Qui l’en empêche dans notre monde en fabrication, Pourquoi la haine, et la destruction, et toujours se diviser.
Tu vois à ma petite échelle je deviens utopiste, Pourtant je devrais être heureux, c’est là le signe de l’espoir, Et toi qui vois le reflet de notre âme dans ton miroir, Chasse à jamais le mal qui est en nous, et fait qu’enfin nous soyons bons, Pour le bien de notre terre.
le 06-12-2014
RépondreSupprimermis à jour titre et tags et présentation du photo-poème La Sagrada Familia la Basilique
mis en ligne sur Youtube le 17-11-2010
LA SAGRADA FAMILIA LA BASILIQUE © THOMAS ANDRE
Aujourd’hui, tu as connu la consécration
Le pape BENOIT 16 t’a accordé la sacralisation.
On vient de te nommer basilique,
Et en ton sein a eu lieu une messe eucharistique.
Sous tes très grandes voûtes que Gaudi a imaginé,
Catholique reconnue tu deviens, et on a lu le rosaire.
Réalisant le vœu pieu de ce génie visionnaire,
Ton concepteur, qui rend grâce à Dieu en vérité.
Sa foi se découvre dans son œuvre non achevée,
Par son gigantisme, il montre son espérance,
Par ses ogives et ses formes, c’est la recherche de la pureté,
Dans la profondeur de la basilique, il montre sa croyance.
Chassant certainement le doute qui le mine,
Lors de son élévation, inlassablement il construit l’ouvrage.
N’ayant de cesse de le finir comme un hommage,
Au créateur et à la prière qui l’anime.
En 2008, à BARCELONE quand pour la première fois je t’ai vue,
Sur tes marches je suis resté stupéfait.
Mes yeux n’étaient pas assez grands pour voir ce que je voyais,
Tant d’amour et de dévotion stylisés sur tes façades offertes à notre vue.
Je suis Catholique et Croyant mais je l’avoue peu pratiquant,
Car pour moi l’église est un refuge où l’on parle seul à Dieu,
Lui confiant tous nos meaux et lui demandant,
De souvent nous aider, car pour nous notre soutien c’est DIEU.
Entrant en ton église en plein travaux, et avec tous ses visiteurs,
Mon être profond a senti que tu étais là avec tous ses spectateurs,
Venus rendre grâce aux dons que les hommes t’avaient faits,
Je me suis dit qu’on lieu de nous détruire, on pourrait chercher l’accord parfait.
Ta basilique est lumière,
Et de cela Gaudi peut en être très fière.
Large et haute comme pour mieux respirer,
On se sent malgré le bruit et les voix qui s’élèvent prêts à prier.
Et je me dis que l’homme est capable de grandes constructions pour t’honorer,
Pourquoi ne le met il pas en œuvre dans notre civilisation,
Qui l’en empêche dans notre monde en fabrication,
Pourquoi la haine, et la destruction, et toujours se diviser.
Tu vois à ma petite échelle je deviens utopiste,
Pourtant je devrais être heureux, c’est là le signe de l’espoir,
Et toi qui vois le reflet de notre âme dans ton miroir,
Chasse à jamais le mal qui est en nous, et fait qu’enfin nous soyons bons,
Pour le bien de notre terre.