mardi 16 décembre 2014

la poesie et la photographie d'art: ©NEW YORK poèmeTHOMAS André photo&photo-peinture M...

la poesie et la photographie d'art: ©NEW YORK poèmeTHOMAS André photo&photo-peinture M...

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  1. ©NEW YORK poème THOMAS André©

    Comme une star de cinéma,
    Tu aimes faire ton cinéma.
    Extravagante par tes tenues,
    Démesuré dans les spectacles de tes avenues.

    Tu bruisses de mille vies,
    Tes sirènes nous alertent des gens en survies,
    Et ses hélicoptères qui te survolent,
    Dans des circuits rédigé dans leur plan de vols.

    A Rockfeller Center, les touristes pleuvent
    Comme un troupeau qui s’abreuve,
    Au formidable jet d’eau,
    Qui parade derrière la statue en élevant son eau .

    Extraordinaire ta mascotte, quelle classe,
    Par sa masse,
    Par sa place ,
    Et son espace.

    Vient le moment de Battery park,
    Une longue foule attends son tour dans le park.
    Après une grande fouille, enfin on embarque,
    Pour l’ile de la liberté mais c’est dans un bateau et non une barque.

    Voguant vers la statue de la liberté,
    On se sent comme transporté vers cette liberté,
    Dieu que ce cadeau du peuple français est beau
    C’est une fierté pour nous français d’aller voir ce magnifique cadeau.

    Au dessus de nous On l’admire,
    Cette sculpture qui au monde sert de mire .
    De repère par sa flamme,
    Et qui éclaire le monde de sa flamme

    Ensuite c’est Broadway,
    La rue des spectacles, la vraie one way.
    Lumières et scintillement
    Intrigues et comédies musicales au firmament.

    Ici les panneaux publicitaires sont immenses,
    Et on reste fasciné par ce monde intense
    De bruits, de clignotements fardés de couleurs
    Et nous tous petits sommes spectateurs.

    Harlem, ancien ghetto, a fait naître le blues,
    Devenu temple de la musique,
    De la soul, Du rythme and blues,
    Et aussi de toutes sortes d’innovation en musique.

    Je ne te quitterais pas, sans un hommage au WORLD TRADE CENTER,
    A ceux qui ont péri dans le WORLD TRADE CENTER .
    Moi, qui est eu la chance d’y manger, quelle vue !
    Aujourd’hui je pleure avec toi, ces hommes et ces femmes tragiquement disparues.

    ©THOMAS André
    Cette ville, dont le doux surnom, est BIG APPLE M'A TOUJOURS ATTIRE,
    Comme les abeilles le sont par les Fleurs,
    Mais j'y pense, avant d'être la grosse pomme, elle a été petite fleur,
    Et avec soin, à grandit pour se faiire appelle, comme une star; New York.
    THOMAS André

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