18/11/2015 mise à jour Mise en ligne le 17 févr. 2011 THOMAS ANDRE,poète,écrivain,auteur, MARTINE ANCIAUX,photographe d’art, créatrice de la photo peinture Martine ANCIAUX creator of the photo painting,new art of the photo painting,ART PHOTOGRAPHER, grâce aux très belles photos et photos peintures de MARTINE ANCIAUX voir ses sites, j'ai pu créer un poème sur un peuple que j'admire énormement et qui se nomme les indiens d'Amérique, depuis tout petit , j'ai cherché à comprendre, pourquoi les blancs n'avaient jamais su être en paix avec les peaux rouges, certainement un problème de profit, à cette époque là, l'ouest américain ouvrait ses portes aux conquérants des nouvelles terres, pour eux le partage ne pouvait existait, et pourtant si l'on y réfléchit beaucoup d'échanges productifs auraient pu se faire et à force une compréhension et une estime réciproque aurait pu exister, ici tous les dimanche il y a un feuilleton televisé walker texas ranger ou wacho à été élévé dans une tribu indienne et souvent il utilise ses dons de perception de la nature pour traquer les criminels. j'ai apprécié aux Etats unis, leurs coutumes, et la gentillesse de nos guides navajos, ce poème est un signe d'un ami. THOMAS ANDRE Musique"L'absent" de Gilbert Bécaud
Tout petit, je te voyais au cinéma chevauchant dans tes prairies, Alors j’ai cherché à te comprendre en librairies. Dans ces livres, j’ai connu quelques unes de tes tribus, Et j’ai aussi compris, combien le visage pâle t’a fait payer de lourds tribus.
Longtemps après ces westerns, des questions en moi se sont posées, Pourquoi l’homme blanc t’a tant pourchassé et tué, Tant de haine, et de sang ont coulé, avant un traité, Inondant tes plaines, déjà de couleurs rouges teintées.
Il y a cinquante ans, l’enfant européen jouait aux cows boys et aux indiens, Moi je choisissais d’être un indien. Quand les tuniques bleues dans les films te battaient, Tu étais, soit sioux, cheyenne, apache, ou comanche, et tes tribus résistaient.
Il y a bien longtemps, nous jouions à construire des tentes indiennes, Ce sont des tepees en culture indienne. Dans ta civilisation, il y avait le sorcier, Qui, quand j’étais petit me rendait inquiet, comme le pouvoir du sourcier.
Alors, lors de ma visite aux Etats Unis, J’ai vu les musées indiens. A Mesa Verde, j’ai connu tes ancêtres les amérindiens, Qui étaient les premiers habitants des Etats Unis.
Dans ces lieux, j’ai enrichit ma culture, J’ai été surpris par toute la richesse de ta culture. Et très impressionné, par tes artistes pour tes parures, Et tous ses merveilleux mocassins et tuniques que tu portais dans la nature.
Ici, j’ai ressenti la puissance de ta civilisation, Et tel le bison, elle est en extinction, Maintenue en vie par nous les touristes, Qui cherchons le reste de tes valeurs, et c’en est très triste.
Mais je t’ai vu aussi heureux, quand dans ton pays tu m’as guidé, A Monument Valley, et que souvent je t’ai regardé. Alors avec peu de mots tu nous expliquais, La valeur de cette terre, et combien pour vous elle comptait.
18/11/2015 mise à jour
RépondreSupprimerMise en ligne le 17 févr. 2011
THOMAS ANDRE,poète,écrivain,auteur,
MARTINE ANCIAUX,photographe d’art,
créatrice de la photo peinture
Martine ANCIAUX creator of the photo painting,new art of the photo painting,ART PHOTOGRAPHER,
grâce aux très belles photos et photos peintures de MARTINE ANCIAUX voir ses sites, j'ai pu créer un poème sur un peuple que j'admire énormement et qui se nomme les indiens d'Amérique, depuis tout petit , j'ai cherché à comprendre, pourquoi les blancs n'avaient jamais su être en paix avec les peaux rouges, certainement un problème de profit, à cette époque là, l'ouest américain ouvrait ses portes aux conquérants des nouvelles terres, pour eux le partage ne pouvait existait, et pourtant si l'on y réfléchit beaucoup d'échanges productifs auraient pu se faire et à force une compréhension et une estime réciproque aurait pu exister,
ici tous les dimanche il y a un feuilleton televisé walker texas ranger ou wacho à été élévé dans une tribu indienne et souvent il utilise ses dons de perception de la nature pour traquer les criminels.
j'ai apprécié aux Etats unis, leurs coutumes, et la gentillesse de nos guides navajos, ce poème est un signe d'un ami.
THOMAS ANDRE
Musique"L'absent" de Gilbert Bécaud
©MON AMI L’INDIEN D’AMERIQUE POEME DE THOMAS ANDRE©
Tout petit, je te voyais au cinéma chevauchant dans tes prairies,
Alors j’ai cherché à te comprendre en librairies.
Dans ces livres, j’ai connu quelques unes de tes tribus,
Et j’ai aussi compris, combien le visage pâle t’a fait payer de lourds tribus.
Longtemps après ces westerns, des questions en moi se sont posées,
Pourquoi l’homme blanc t’a tant pourchassé et tué,
Tant de haine, et de sang ont coulé, avant un traité,
Inondant tes plaines, déjà de couleurs rouges teintées.
Il y a cinquante ans, l’enfant européen jouait aux cows boys et aux indiens,
Moi je choisissais d’être un indien.
Quand les tuniques bleues dans les films te battaient,
Tu étais, soit sioux, cheyenne, apache, ou comanche, et tes tribus résistaient.
Il y a bien longtemps, nous jouions à construire des tentes indiennes,
Ce sont des tepees en culture indienne.
Dans ta civilisation, il y avait le sorcier,
Qui, quand j’étais petit me rendait inquiet, comme le pouvoir du sourcier.
Alors, lors de ma visite aux Etats Unis,
J’ai vu les musées indiens.
A Mesa Verde, j’ai connu tes ancêtres les amérindiens,
Qui étaient les premiers habitants des Etats Unis.
Dans ces lieux, j’ai enrichit ma culture,
J’ai été surpris par toute la richesse de ta culture.
Et très impressionné, par tes artistes pour tes parures,
Et tous ses merveilleux mocassins et tuniques que tu portais dans la nature.
Ici, j’ai ressenti la puissance de ta civilisation,
Et tel le bison, elle est en extinction,
Maintenue en vie par nous les touristes,
Qui cherchons le reste de tes valeurs, et c’en est très triste.
Mais je t’ai vu aussi heureux, quand dans ton pays tu m’as guidé,
A Monument Valley, et que souvent je t’ai regardé.
Alors avec peu de mots tu nous expliquais,
La valeur de cette terre, et combien pour vous elle comptait.