vendredi 27 novembre 2015

la poesie et la photographie d'art: ©BryceCanyonThomasandréphotophotopeintureMartineAn...

la poesie et la photographie d'art: ©BryceCanyonThomasandréphotophotopeintureMartineAn...

1 commentaire:

  1. 27-11-2015 mide à jour,
    mise en ligne 28-05-2011
    THOMAS ANDRE,auteur,écrivain,poète,
    MARTINE ANCIAUX,photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture,photo painting,
    Martine ANCIAUX creator of the photo painting.new art of the photo painting,art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
    EN 2008 DANS LE PARC DE BRYCE CANYON, JE N'AVAIS PLUS DE MOTS POUR DEFINIR LES SPLENDEURS EFFECTUES PAR LA NATURE SUR LES ROCHES. MA PREMIERE IDEE FUT CE FORMIDABLE JEUX D'ECHECS ENTRES LES BLANCS ET LES ROSES, MA DEUXIEME IDEE FUT DE PRIER DEVANT UNE TELLE MAJESTE QUE LA NATURE M'OFFRAIT, LA TROISIEME FUT DE M'IMPREGNER DES LIEUX AFIN DE POUVOIR ECRIRE UN POEME VANTANT CETTE NATURE.
    AUJOURD'HUI JE VOUS L'OFFRE EN UN DIAPORAMA PHOTO-POEME DE MARTINE ANCIAUX ET THOMAS ANDRE

    ©BRYCE CANYON poème THOMAS ANDRE©

    Ici, tout n’est que structure,
    Des assemblages de pierre formant de nouvelles architectures,
    Mêlant le travail de l’érosion avec la couleur,
    Ou chaque grain de sable semble être mis en valeur.

    Le grand architecte de cet ordonnancement,
    N’est pas l’homme finalement.
    C’est notre mère Nature,
    Qui sans relâche chaque jour a édifié cette figure.

    Perfectionnant son aspect en le modifiant,
    Le structurant et le laissant tel quel pour ses quelques instants.
    En effet, comment dans 1000ans, cela aura-t- il évolué,
    Nous, hommes ne pouvant le deviné.

    Même avec le meilleur programme informatique,
    Et l’esclave qui va avec, vous savez celui qui rentre les paramètres,
    Impossible de savoir malgré tous les calculs savants de la machine fantastique,
    L’évolution sur le terrain de nos sculptures, cela il nous faut l’admettre.

    Apprécions alors, ce que le regard nous offre,
    Je vois un jeu d’échec, ou est installé chaque pièce.
    Mon plateau est virtuel, et je joue comme par instinct mes pièces,
    Afin de croire que je peux mettre en échec, ce plaisir que la nature m’offre.

    De défilés en gorges,
    Aux barrières frontales,
    Je domine cet ensemble et ma joie en regorge,
    La lumière jouant sur le massif et ses statues sidérales.

    Le soleil joue a modifié les couleurs,
    Me renvoyant comme un enfant dans des interrogations,
    Pour suivre son chemin et ses pérégrinations,
    Et cherchant comment il créera dans l’espace la profondeur.

    Moi, hébété, ahuri, par toute cette beauté,
    Je suis sans voix, mes yeux trop petits pour couvrir cette immensité.
    Je me sens comme un lilliputien ou comme Arthur et les minimoys,
    Et me voici, maintenant dans un monde de toys.

    Déboussolé et un peu surpris par mon raisonnement,
    Je vois apparaître mon ami plus petit, l’écureuil,
    Un sourire s’échappe de mon visage finalement,
    A son échelle aussi je suis un géant, n’ai pas peur gentil écureuil.

    Dans un dernier regard j’emporte ce paysage dans mon souvenir,
    Comme oppressé par tant de belles choses je pousse un soupir,
    Et germe en moi l’envie d’y revenir,
    Car je le sais, je n’ai pas pu tout voir malgré tout mon désir.

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