dimanche 26 octobre 2014

©La CORSEpoèmeTHOMASAndréphotosMartineANCIAUXtélévision créatricedelapho...

1 commentaire:

  1. moi le poète THOMAS André , jai voulu mettre des mots pour matérialiser cette grande beauté de LA CORSE.
    j'ai mis alors en photo poème, une ile merveilleuse, la CORSE;
    LA DIFFERENCE DE PAYSAGES QUI EXISTENT SUFFIT A ELLE TOUTE SEULE, A LA PLACER AU PATRIMOINE DE L'HUMANITE,PARLONS DE CES ILES, DE SA FAUNE, ET DE SA FLORE;
    BAIGNE PAR CETTE MER MEDITERRANNEE SI BLEU QUE LES YEUX DE TES BLEUS QUE CHANTE CHARLES AZNAVOUR.
    LES CORSES ONT LE SENS DE L'HOSPITALITE ET AUSSI CELUI des traditions, vieille civilisation souvent envahi en particulier, par les gênois et italiens, ils ont conservé en eux, leurs propre folklore, ces musiques et ce son des guitares et des mandolines qui nous émeuvent tant, AINSI QUE CES VOIX EXTRAORDINAIRES VOIR LES POLYPHONIES CORSES
    d'une gentillesse extrème, les CORSES ONT DU TEMPERAMENT ET DE LA GENEROSITE;
    THOMAS ANDRE


    ©LA CORSE poème THOMAS André© fait en juillet 2009
    Pays de lumières et de couleurs,
    De montagne et de mer pour les visiteurs,
    C’est pourtant une île, pour les insulaires,
    Et toutes les commodités deviennent extraordinaires,

    Pays de musiques et de traditions,
    La Corse a une vieille civilisation,
    Pour comprendre, il faut aller au musée de CORTE,
    Qui se trouve dans la très belle citadelle de CORTE.

    Après un peu d’histoire, du dépaysement,
    Nous allons monter par la RESTONICA,
    Superbe paysage, et une route étroite, la RESTONICA,
    Ici la nature est restée sauvage naturellement.

    On peut croiser des mouflons,
    Cet animal est prodigieux par son agilité,
    Par sa souplesse à gravir les pentes sans difficulté,
    Et de telles cornes chez ces mouflons.

    Ici on entend le bruit des cascades,
    L’eau jaillit des entrailles de la montagne,
    Et nous laisse pantois et admiratif devant la montagne.
    La lumière change et modifie notre environnement et ses façades.

    En haut, démarre les randonnées,
    Ici, c’est comme dans l’ouest Américain,
    Nos pieds et nos jambes nous servant pour ces chevauchées,
    Abruptes mais tellement paisibles pour moi l’écrivain.

    La photographe, elle traque la lumière,
    Et poursuit l’irréel l’inédit, c’est sa véritable quête,
    Trouver ce que l’on ne voit pas, afin de le photographier,
    Et laisser pour les autres, une trace de ce qui a existé.

    Après de petits sauts sur les rochers,
    Pour mieux dompter la lumière, et avoir une belle prise de vue
    Elle actionnera le déclic et libérera, une photo digne d’être vue,
    Donnant au passant, la proximité et l’impression de le vivre et de le toucher.

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