vendredi 10 octobre 2014

©CycledelaNaturepoèmeThomasandréphotopeinturemartineAnciauxcreatorofthep...

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  1. mise à jour du titre et du photo-poème le cycle de la Nature mis en ligne le 29-10-2011

    LE 10-10-2014
    aujourd'hui dans notre département le GARD,NOUS AVONS EUS LE CYCLE DE LA MOUSSON ET COMME ILS DISENT A LA TELEVISION ET C'EST PAS FINIT
    triste pour les naufragés des innondations.

    ©LA NATURE A SES QUATRES SAISONS THOMAS André©

    LE PRINTEMPS
    ,LA NAISSANCE,LE BOURGEONNEMENT, LE TEMPS DES AMOURS , ET L'ACCOMPLISSEMENT DE LA VIE, POLLINISATION ET PERRENISATION DE LA NATURE .
    AU CHANT DES OISEAUX, AUX BRUITS SOURD DES FRELONS, AUX COURSES EFFRENEES DES PAPILLONS ET AUX VOLS DES LIBELLULES TOUS CE MONDE S'ACTIVE POUR PROCREER.

    L'ETE

    SOUS CETTE CHALEUR QUI NOUS ASSOMME ,LES CIGALES S'EN DONNENT A CŒUR JOIE , LES FRUITS ET LEGUMES SE MIRENT AU SOLEIL POUR NOUS OFFRIR LEURS PLUS BEAUX FRUITS, UNE SEULE CHOSE MANQUE DES GOUTTES D'EAU.

    L'AUTOMNE

    FINI LA BELLE VIE , LES NUAGES ONT REMPLACE LE SOLEIL , ET LES ARBRES CHANGENT LEUR GARDE ROBE EN LES TEINTANT AUX COULEURS DE L'AUTOMNE.

    L'HIVER,

    CE FROID QUI GLACE , CES FLOCONS QUI TOMBENT DANS UN CIEL BLANC LOURD,
    ET NOUS COMME LES ARBRES FAISANT LE GROS DOS POUR POUVOIR SUPPORTER CETTE DURE SAISON .

    ©Le cycle de la nature poème Thomas André©


    La venue du printemps s’annonce par la naissance de la fleur,
    Qui habille l’arbre de ses belles parures,
    Le transformant par l’apparition de couleurs,
    Alors, tel un mannequin il offre aux spectateurs sa verdure.

    Qui va se faner, ou se transformer par l’arrivée de l’été et sa chaleur.
    Alors assoiffé, il attendra les quelques gouttes d’eau pour se remettre en valeur,
    Ses branches aspirant cette humidité, qui lui permettra de résister au soleil.
    Et se montrera vaillant face au coucher de soleil.

    Quand les premières brumes automnales engendreront la chute de ses feuilles,
    Il ne se plaindra pas de se séparer de cette couverture.
    Il osera commencer, à montrer sa réelle architecture,
    Découvrant ses branches, et leurs structures dépouillées de ces feuilles.

    Aux premiers frimas de l’hiver, notre Arbre sera nu, et frigorifié.
    Se retrouvant livré à lui-même, frissonnant sous le vent glacial,
    Et à son pied, la neige le couvrira de son manteau blanc si spécial,
    Qui fait que l’on se trouve emmitouflé, et en même temps vitrifié.

    Alors, l’homme en son jardin,
    Attendra de revoir le chemin,
    Celui que sa marque a laissé,
    Pour que son petit éden soit matérialisé.

    Tel un animal ayant hiverné,
    Il patientera aux retours des jours ensoleillés,
    Et où, nature rime avec renaissance,
    Comme pour la femme qui attends une naissance.

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