vendredi 8 avril 2016

la poesie et la photographie d'art: ©LaPluieThomasandréphotophotopeintureMartineAnciau...

la poesie et la photographie d'art: ©LaPluieThomasandréphotophotopeintureMartineAnciau...

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  1. 8/4/2016 Mis à jour
    La pluie une injustice permanente,
    Il n'est pas rare de rester des mois sans eau,
    Dans certains pays, ou lieux de notre planète, que l'on appelle terre,
    Et d'autres se trouvent submergé par cette même pluie inondant leurs terres.THOMAS André

    6-5-2015 mise à jour,
    Ajoutée le 4 mars 2014
    THOMAS ANDRE,auteur,écrivain,poète,
    MARTINE ANCIAUX photographe d'art,créatrice de la photo-peinture,MARTINE ANCIAUX CREATOR OF THE PHOTO PAINTING,New Art of21th century ,ART PHOTOGRAPHER,
    http://www.anciaux-photos.fr,http://www.anciauxmartine.com,
    MUSIQUE PAUL DECOMBLE.
    Apres cet hiver colossal par les tempêtes, ainsi que par les très grosses pluies,
    j'ai voulu mettre des mots sur des gouttes d'eau, qui peuvent s'avérer catastrophiques.
    LA PLUIE, un terme magique,synonyme de vie,de rêve,de moissons,de nourriture,
    Mais qui peut être son contraire, avec les inondations, les cours d'eaux en torrent,
    Les habitants évacuant des logements en proie à la fureur de l'eau, les gens isolés, les noyés,
    Ce seul élément, la pluie est double, avantages et catastrophes.

    ©PLUIE POEME THOMAS ANDRE©

    Elle frappe sur le sol avec insistance,
    Comme une force d’une telle puissance,
    Que les objets frémissent d’impuissance,
    Elle se sert d’eux comme d’une caisse de résonance.

    Sur eux elle innove en musique,
    Créant des bruits magiques,
    Que l’on trouverait bizarres, en rythmique,
    Changeant les codes d’harmonies presque cyniques.

    Elle invente des mélodies différentes,
    Qui provoquent en nous comme des formes apparentes,
    Mobiles et véhiculées par le vent,
    Elle joue de son unicité comme un paravent.

    Démontant tout mécanisme de précision,
    Elle s’insinue avec passion,
    Dans chaque espace,
    Et occupe tout cet espace.

    Sur nos pares brises, elle se fracasse,
    Obturant notre vue, et faisant que notre vue se tracasse,
    A deviner chaque mouvement
    Que nos yeux devinent subtilement,

    Quand sa frappe augmente,
    Alors, on commence à craindre les inondations,
    Et cette eau n’est plus la bienvenue, elle nous condamne à l’immersion,
    Provoquant en nous panique qui s’intensifie quand son niveau augmente.

    Alors de bienfaits,
    Elle devient méfaits,
    Laissant habitants et maisons livrés à sa fureur,
    Et c’est là qu’elle devient malheur.

    Nous qui l’aimons quand elle irrigue normalement,
    Nos terres et nos rivières, elle peut devenir notre ennemi méthodiquement,
    Ne laissant rien au hasard elle martèle notre patience,
    Et nous laisse dans le désarroi et l’impatience.

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