Quelle fut notre stupeur, Quand aux informations, on nous parla de la vague de la terreur, Que devant nos yeux cette masse immense Déferlait sur des êtres sans défense.
Que tous étaient projetés, Et que comme des fétus de paille tous se trouvaient ballottés, Que face à cette avalanche d’eau, On ne pouvait faire face, ni lutter contre cette eau,
Et que comme dans un cauchemar Où la nuit paraît sans butoir, Nous, les autres, étions témoins de ce cauchemar, Les images nous assiégeaient, et nous racontaient votre histoire.
Comme pour mieux nous frapper, de votre impuissance, Nous rendant sans ressort, devant une telle force et cette puissance. A l’infini, il nous semblait, être très proche de vous, Tout en étant préservés, pas comme vous.
Dans ce jour, où pour vous, tout s’est arrêté, Nous, nous sommes de vous préoccupés. Ne sachant quel geste, de notre part, aurait été le bienvenu, Nous nous sommes efforcés de parler, de votre malheur avec retenue.
Hommage à tous ses japonais, qui ne sont plus, Qui ont perdu la vie, Et ceux qui ne peuvent vivre, qu’en survie, Et qui nous ont étonnés, en plus.
En effet, quel peuple aurait pu assumer, un tel drame, Et n’aurait point laissé paraître, une grande rancœur, En pensant leurs plaies, ils y ont mis tout leur cœur, Pour éviter, de ne pas faire face au drame.
09-02-2016 mise à jour contestation interdiction bande son sur youtube
RépondreSupprimerla vague c'est un tsunami elle rentre en profondeur dans les terres, et tue tous les humains en détruisant tous sur son passage avant de se retirer.
merci d'avance de corriger, amicalement THOMAS André
28-01-2015
Le temps a passé,
Mais rien n'est effacé,
La douleur, comme les pleurs coulent encore,
Et pourtant la vie, ou la survie existe,encore
THOMAS André 28-01-2015
avec respect, et amitiés, on pense toujours à vous
mise à jour titre et tags et présentation de ce photo-poème
Ajoutée le 4 avr. 2012
THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète,
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting,
Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,
merveilleuses photos & photos-peinturesDe MARTINE ANCIAUX photographe d'art et créatrice de la photo-peinture, Pour faire mon photo-poème sur le tsunami du 11 mars 2011 qui a ravagé le Japon,
Et pour rendre hommage au courage du peuple japonais.
Il y a déjà plus d'un an, mais je me souviens moi pour qui le 11 mars est déjà un jour de souvenir,
Avoir entendu à télé matin sur France 2 cet atroce récit et le nombre de morts
Et de disparus que cette vague scélérate avait faite suite à un très gros tremblement de terre.
J'avais ensuite voyagé sur le net et tous ses sites pour me tenir au courant.
Et voilà pourquoi pour souligné la force du peuple japonais, j'ai écris avec des photos de
MARTINE ANCIAUX photographe d'art et créatrice de la photo-peinture,
Ce photo-poème que je dédie à nos amis japonais « VAGUE ».
©VAGUE POEME THOMAS ANDRE©
Au pays du soleil levant,
Ce 11 mars 2011, on a crut voir le couchant.
Un tsunami énorme s’abattit sur le JAPON,
Laissant en drame le pays Nippon.
Quelle fut notre stupeur,
Quand aux informations, on nous parla de la vague de la terreur,
Que devant nos yeux cette masse immense
Déferlait sur des êtres sans défense.
Que tous étaient projetés,
Et que comme des fétus de paille tous se trouvaient ballottés,
Que face à cette avalanche d’eau,
On ne pouvait faire face, ni lutter contre cette eau,
Et que comme dans un cauchemar
Où la nuit paraît sans butoir,
Nous, les autres, étions témoins de ce cauchemar,
Les images nous assiégeaient, et nous racontaient votre histoire.
Comme pour mieux nous frapper, de votre impuissance,
Nous rendant sans ressort, devant une telle force et cette puissance.
A l’infini, il nous semblait, être très proche de vous,
Tout en étant préservés, pas comme vous.
Dans ce jour, où pour vous, tout s’est arrêté,
Nous, nous sommes de vous préoccupés.
Ne sachant quel geste, de notre part, aurait été le bienvenu,
Nous nous sommes efforcés de parler, de votre malheur avec retenue.
Hommage à tous ses japonais, qui ne sont plus,
Qui ont perdu la vie,
Et ceux qui ne peuvent vivre, qu’en survie,
Et qui nous ont étonnés, en plus.
En effet, quel peuple aurait pu assumer, un tel drame,
Et n’aurait point laissé paraître, une grande rancœur,
En pensant leurs plaies, ils y ont mis tout leur cœur,
Pour éviter, de ne pas faire face au drame.
Dans mon admiration,
Je leur dédie, ce photo-poème,
Symbole de la force, de ce peuple, et de sa population,
Et j‘espère que mes mots, donneront la noblesse à ce poème.
©