vendredi 23 janvier 2015

©Lake Powell odeThomasandré photopeinturemartineAnciauxcréatorphotopaint...

1 commentaire:

  1. le 23-01-2015
    mis à jour titre, tags, et présentation de ce photo-poème Ajoutée le 9 mars 2012
    THOMAS ANDRE,auteur,écrivain,poète,http://www.thomasandre.c.la/,
    MARTINE ANCIAUX,photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture,photo painting,
    Martine ANCIAUX creator of the photo painting.new art of the photo painting,art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
    S'est inspiré des sensationnelles photos & photos-peintures De la photographe d'art et créatrice de la photo-peinture MARTINE ANCIAUX pour faire un photo-poème sur Le lac Powell situé entre l'Arizona et l'Utah, lac Powell, lac artificiel créé sur le fleuve Colorado par le barrage de Glen Canyon achevé en 1963. Long de près de 300 km. Les eaux du lac Powell sont très claires et peuvent atteindre 150 mètres de profondeur. Le lac est devenu une zone de loisirs très fréquentée. De nombreuses activités nautiques y sont proposées, c'est aussi une particularité, il y a la des bateaux complètement habités et qui vivent en permanence, sur la lac, Ils y vivent comme dans un camping aquatique, une drôle d'impression s'en dégage, en France on dirait qu'ils se sont organisés pour occuper le lac avec des piquets de grève ? Ce n'est pas cela bien sur. Merveilleux endroit, il faut faire la ballade en bateaux c'est fabuleux.

    ©LAKE POWELL PoèmeTHOMAS ANDRE©

    Comme ces cavaliers traversant cette route,
    Qui semble conduire à nulle part,
    Dans la chaleur de juin ils vont au pas vers un autre part,
    Nous en voiture scrutons cette armée en route.

    Au loin, au milieu d’un lac, un énorme rocher sert de tour,
    Comme aux échecs, il supervise l’axe vertical et horizontal,
    S’abrogeant le droit de cacher la vue au-delà de sa tour.
    Un banc de sable nous dirige vers ce lieu minéral.

    Ce bleu intense fondu dans cette couleur sable,
    A quelque chose d’étrange,
    On dirait que tout a été étudié surtout tout ce sable,
    La pierre se dresse comme un lieu de vie qui dérange.

    Elle, à la façon du règne animal, marque son territoire,
    Scindant en deux l’étendue d’eau,
    Et la séparant de son histoire,
    Celle de la continuité de sa masse d’eau.

    Plus loin sur ce lac, il y a une cité lacustre,
    Qui n’est pas là depuis des lustres,
    Mais qui marque sa place, grâce à ces bateaux maisons,
    Donnant lieu à un village flottant de maisons.

    Cet aspect insolite se renforce,
    Par la présence du barrage hydraulique,
    Qui dégage dans ses gorges une telle sérénité et une force,
    Par la hauteur de son poitrail qui donne un aspect physique.

    Aller au LAKE POWELL, sans faire une promenade en bateau,
    Serait complètement irresponsable,
    Car là, c’est dans un dédale de rochers insondables,
    Que notre périple se fera sur ce bateau.

    RépondreSupprimer