mercredi 21 janvier 2015

©LePoèteduJazzNOUGAROpoèmeThomasandréphotoduWeb photopeintureMartineAnciauxcréatricedelaphotopeinture monde Télévision© - Vidéo Dailymotion

©LePoèteduJazzNOUGAROpoèmeThomasandréphotoduWeb photopeintureMartineAnciauxcréatricedelaphotopeinture monde Télévision© - Vidéo Dailymotion

1 commentaire:


  1. ©NOUGARO POEME THOMAS ANDRE©

    Je l’appelais, le poète aux rimes cassantes,
    Utilisant les mots, et leurs symboles, de manière fracassante.
    Lui, qui est né dans la musique,
    A sculpté ses mots, pour en faire sa musique.

    De Toulouse, sa ville,
    Il en fera, une chanson,
    Afin que personne ne puisse l’ignorer, et aller voir cette ville,
    Et chaque mot, te percute ,comme l’ensemble de sa chanson.

    Jazzman invétéré, il ne peut se résoudre, à ne pas parler de la condition humaine,
    Dans Amstrong je ne suis pas noir, je suis blanc de peau,
    Il se transfère mentalement ,dans ce musicien de génie, aux grandes valeurs humaines,
    Qui transcendait l’auditoire, pour alors, que personne puisse percevoir, sa couleur de peau.

    Dans bidon bidonville, il met à nu, le mal de notre planète,
    La pauvreté, qui se voit par ses taudis,
    Que les gens bien nés, esquivent en faisant, des non dits,
    Pourtant, ce malheur est certainement la désespérance, de notre planète.

    Dans ma fille, c’est l’éloge de cet enfant,
    Cette continuité de sa vie,
    Lui, le poète aux douleurs exacerbées, de notre monde en survie,
    S’empare de cet instant, la paternité, pour avouer son amour à cet enfant.

    Une chanson qui explose,
    C’est Prométhée ,le découvreur de la flamme,
    Le changeur de notre destin, qui implose,
    Et par le feu, nous rends plus fort, et moins vulnérable, grâce à la flamme.

    Moi le petit poète, je te loue, à travers mes mots,
    Moins percutants que le fracas de tes mots,
    La puissance de ton verbe, et ta phrase rendant l’image,
    De ce monde, que tu aimais, et détestais, parfois, pour son double visage.

    RépondreSupprimer