dimanche 2 novembre 2014

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  1. mise à jour titre et tags du photo-poème FERRARI
    mis en ligne sur Youtube le 10-01-2012
    amicalement thomas andré

    ©FERRARI POEME THOMAS ANDRE©

    C'est une voiture de légende,
    Dont Fangio, en assura en partie la légende,
    Grâce, à ces très nombreuses victoires en grand prix,
    Ceux qui s'en souviennent, savent que le directeur de l'écurie Ferrari,

    Était appelé, il commandatore, et que le cheval cabré,
    Qu'on appelait aussi la scuderia ferrari, était en course très dur à dompter,
    Cette marque au drapeau, frappé de ce cheval dressé,
    Semait souvent une certaine peur, pour ces concurrents les plus empressés.

    Les pilotes devaient gagner, pour le titre de champions de formule 1,
    Magnum s'en servit beaucoup pour ses enquêtes,
    Nous, devant nos télévisions en fauteuil, l'accompagnons dans ses enquêtes,
    Juste le temps de rêver avec la voiture rouge reine des formules 1.

    Il y eut aussi le feuilleton, amicalement votre,
    Ce duo entre Roger Moore et Tony Curtis,
    L'un aristocrate anglais, l'autre du peuple, et américain, et ce Tony Curtis,
    Toujours prêt a rendre fou ce lord Brett Sinclair, entre autre.

    La Ferrari, symbole de richesse,
    Voiture traitée en altesse,
    Étant la voiture sportive de luxe,
    Tout comme la Rolls-Royce, est la voiture de la majesté, et du luxe.

    Souvent lorsque l'on voit ces voitures, un attroupement se fait,
    C'est le cercle des curieux,
    Mais aussi parfois, le clan des envieux,
    Car les moyens financiers manquant, devant celle-ci, on ne peut que rêver en fait.

    C'est souvent, pour le commun des mortels,
    Une envie de possession,
    Qui peut tourner à la passion,
    Et souvent aux jeux de poker, et de casino, dans des hôtels,

    VEGAS nous voilà,
    Essayons de gagner le pactole,
    Avant de nous brûler, comme avec du vitriol,
    Et nous mordre les doigts, devant la ferrari qui n'est pas à nous,mais qui est là.

    Alors comme lorsqu'on était enfant, l'objet de nos rêves,
    Devient et sera, une dinky toy de nos pensées,
    Et longtemps après, on émergera des rêves,
    Pour se jeter, dans la dure réalité si censée,

    Ou le matériel, n'aurait plus droit de cité,
    Et ou les sentiments, nous comblerait,
    Et alors, notre famille nous emmènerait,
    Vers la joie, et le bonheur, dans notre maison en invités.

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