En ce jour de Toussaint, et jour des Morts, Martine ANCIAUX A FAIT UN PELERINAGE PHOTOGRAPHIQUE, Sur le souvenir, l’absence, et la tristesse, de ne plus voir nos êtres chers.
La vie n'est pas un chemin très facile, Souvent elle est semée d'embûches, Que nous ne pouvons prévoir, et malheureusement, nous nous prenons des bûches, C’est cela qui nous déstabilise,
Cette façon qu'à la vie, de nous prendre par surprise, Et de jouer avec nos sentiments, et notre méprise, Faisant parfois chanceler notre raison, loin des schémas classiques, Elle bouscule nos idéaux, chamboule nos idées, et nous emporte dans des épreuves psychiques.
Perturbant, notre raisonnement, Pour nous laisser, dans des errements inconnus, Cherchant souvent le point de rupture, et de dévoiement, Pour nous faire sentir, que nous ne sommes plus maîtres de cet inconnu.
A la lumière, de mon expérience, Je peux dire que la vie, m’a souvent laissé sans réponses, Cherchant, par tous les moyens des réponses, Parfois introuvables, et me laissant dans un immense vide, et un mortel silence.
Dans la vie, point de règles prêtes établies, Pour toi, le passant terrestre de la vie, cela parfois peut finir très bien, Et des fois finir très mal, Il n'y a rien de systématique, et point d’oublies, Rien de très ordonnés, Dans celle qu'on nomme "LA VIE " et qui est parfois si bien ?
A la lumière de mes jours, A l’éclairage de mes nuits, J’ai toujours su, que l’on se retrouverait un jour, Car tu as toujours, hanté mes nuits.
Je suis certain, que l’on fêtera bientôt nos retrouvailles, Celles qui nous ont été ôtées, après tant de batailles. Comme un bateau, livré à la tempête, Notre vie s’est abîmée, après ta disparition sans fête.
Les couleurs dans ma tête, Se sont estompées et la vie pour moi, est devenue un casse tête, Meublant les heures, comme je pouvais, Songeant à ce que tu devenais.
Mes pensées de tristesse m’envahissaient, Laissant toute la place, à tout ce que je subissais, Ton absence, tes rires, nos échanges, C’est vrai, que je ne t’ai jamais idéalisée, tu n’étais pas un ange.
Il était une phrase, que tu m’avais dite, et qui percutait mon esprit Je veux que tu refasses ta vie. Après plusieurs oublis, de ce qu’est la vie, J’ai rencontré, un drôle d’esprit.
Un de ceux, qui t’embête, Avant de te faire toucher à nouveau la vie, Et de te rendre addicte comme le diabète, Te laissant très démuni devant ta nouvelle vie
Tes préjugés tombent, te laissant comme un archer sans flèches. Et de ce fait, tu te retrouves sans armes, Et tu es là, devant cette cible, désarmé, sur la brèche, Mais complètement, naïf, et sans armes.
Alors se réfugiant, vers son ancien bonheur, Je lui demande de l’aide, avant d’à nouveau offrir mon cœur. A celle, que tu m’as envoyée, Toi qui m’aime, et ne veux surtout pas, que je me sois fourvoyé.
Martine Anciaux
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PRESENTATION©HD Jour de Toussaint 2019 Photos&Photo-Peinture Martine Anciaux
TexteThomas André MondeTvWebVie Mort©
En ce jour de Toussaint, et jour des Morts,
Martine ANCIAUX A FAIT UN PELERINAGE PHOTOGRAPHIQUE,
Sur le souvenir, l’absence, et la tristesse, de ne plus voir nos êtres chers.
©PENSEES SUR LA VIE POEME THOMAS André©
La vie n'est pas un chemin très facile,
Souvent elle est semée d'embûches,
Que nous ne pouvons prévoir, et malheureusement, nous nous prenons des bûches,
C’est cela qui nous déstabilise,
Cette façon qu'à la vie, de nous prendre par surprise,
Et de jouer avec nos sentiments, et notre méprise,
Faisant parfois chanceler notre raison, loin des schémas classiques,
Elle bouscule nos idéaux, chamboule nos idées, et nous emporte dans des épreuves psychiques.
Perturbant, notre raisonnement,
Pour nous laisser, dans des errements inconnus,
Cherchant souvent le point de rupture, et de dévoiement,
Pour nous faire sentir, que nous ne sommes plus maîtres de cet inconnu.
A la lumière, de mon expérience,
Je peux dire que la vie, m’a souvent laissé sans réponses,
Cherchant, par tous les moyens des réponses,
Parfois introuvables, et me laissant dans un immense vide, et un mortel silence.
Dans la vie, point de règles prêtes établies,
Pour toi, le passant terrestre de la vie, cela parfois peut finir très bien,
Et des fois finir très mal, Il n'y a rien de systématique, et point d’oublies,
Rien de très ordonnés, Dans celle qu'on nomme "LA VIE " et qui est parfois si bien ?
©RETROUVAILLES POEME DE THOMAS ANDRE©
A la lumière de mes jours,
A l’éclairage de mes nuits,
J’ai toujours su, que l’on se retrouverait un jour,
Car tu as toujours, hanté mes nuits.
Je suis certain, que l’on fêtera bientôt nos retrouvailles,
Celles qui nous ont été ôtées, après tant de batailles.
Comme un bateau, livré à la tempête,
Notre vie s’est abîmée, après ta disparition sans fête.
Les couleurs dans ma tête,
Se sont estompées et la vie pour moi, est devenue un casse tête,
Meublant les heures, comme je pouvais,
Songeant à ce que tu devenais.
Mes pensées de tristesse m’envahissaient,
Laissant toute la place, à tout ce que je subissais,
Ton absence, tes rires, nos échanges,
C’est vrai, que je ne t’ai jamais idéalisée, tu n’étais pas un ange.
Il était une phrase, que tu m’avais dite, et qui percutait mon esprit
Je veux que tu refasses ta vie.
Après plusieurs oublis, de ce qu’est la vie,
J’ai rencontré, un drôle d’esprit.
Un de ceux, qui t’embête,
Avant de te faire toucher à nouveau la vie,
Et de te rendre addicte comme le diabète,
Te laissant très démuni devant ta nouvelle vie
Tes préjugés tombent, te laissant comme un archer sans flèches.
Et de ce fait, tu te retrouves sans armes,
Et tu es là, devant cette cible, désarmé, sur la brèche,
Mais complètement, naïf, et sans armes.
Alors se réfugiant, vers son ancien bonheur,
Je lui demande de l’aide, avant d’à nouveau offrir mon cœur.
A celle, que tu m’as envoyée,
Toi qui m’aime, et ne veux surtout pas, que je me sois fourvoyé.