Dans un petit coin de Lozère Proche du mont Lozère, Se trouve une station de ski, Et où il fait bon faire du ski.
Une route entre deux murs de neige, Qui serpente dans la montagne, Et t’achemine vers les pentes de neige, En faisant attention avec ta voiture aux risques de castagnes.
Comme un écrin protégé, Une station bien enneigée, Qui a tout de familiale, En plus de la couleur locale.
Une étendu devant mes yeux de grande blancheur, Par un temps de grande fraîcheur, Où la nature semble m’appeler, Et sans un mot j’entends son chant m’interpeller.
Au loin je vois cette rivière Qui avec peine creuse son sillon Et où un petit courant maintient l’eau entière, Et avec force elle se bat comme des millions.
Sachant que l’eau c’est des millions de molécules, Pense à la force qu’il lui faut pour ne pas se transformer en glaçons, Et parfois on voit sur cette surface effleurer un glaçon. Et pourtant Dieu qu’est ce qu’elle gesticule.
Au loin des promeneurs choisissent la solitude, Et s’échappent de la multitude, Pour mieux apprécier madame nature, Et faire corps avec la verdure.
Quand la neige tend son manteau blanc Et que seul le lit d'une rivière Peut arriver à marquer une frontière, Alors, on se sent petit comme un flocon de neige dans ce monde blanc.
D’ autres empruntent les moyens de locomotions, Spécifique aux stations, Un traîneau qui glisse, Avec l’aide de ses attelages de chiens, qui permettent cette glisse.
Enfin moi, qui ne suis qu’en visite, je me sens joyeux. Je trouve ce paysage merveilleux, Les rayons du soleil si lumineux, Que seules mes lunettes me protègent les yeux.
le 06-11-2014
RépondreSupprimermise à jour titre et tags de ce photo-poème mis en ligne sur Youtube le 17-01-2012
©Le Mas de la Barque poème THOMAS André©
Dans un petit coin de Lozère
Proche du mont Lozère,
Se trouve une station de ski,
Et où il fait bon faire du ski.
Une route entre deux murs de neige,
Qui serpente dans la montagne,
Et t’achemine vers les pentes de neige,
En faisant attention avec ta voiture aux risques de castagnes.
Comme un écrin protégé,
Une station bien enneigée,
Qui a tout de familiale,
En plus de la couleur locale.
Une étendu devant mes yeux de grande blancheur,
Par un temps de grande fraîcheur,
Où la nature semble m’appeler,
Et sans un mot j’entends son chant m’interpeller.
Au loin je vois cette rivière
Qui avec peine creuse son sillon
Et où un petit courant maintient l’eau entière,
Et avec force elle se bat comme des millions.
Sachant que l’eau c’est des millions de molécules,
Pense à la force qu’il lui faut pour ne pas se transformer en glaçons,
Et parfois on voit sur cette surface effleurer un glaçon.
Et pourtant Dieu qu’est ce qu’elle gesticule.
Au loin des promeneurs choisissent la solitude,
Et s’échappent de la multitude,
Pour mieux apprécier madame nature,
Et faire corps avec la verdure.
Quand la neige tend son manteau blanc
Et que seul le lit d'une rivière
Peut arriver à marquer une frontière,
Alors, on se sent petit comme un flocon de neige dans ce monde blanc.
D’ autres empruntent les moyens de locomotions,
Spécifique aux stations,
Un traîneau qui glisse,
Avec l’aide de ses attelages de chiens, qui permettent cette glisse.
Enfin moi, qui ne suis qu’en visite, je me sens joyeux.
Je trouve ce paysage merveilleux,
Les rayons du soleil si lumineux,
Que seules mes lunettes me protègent les yeux.