jeudi 1 août 2019

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  1. 1/8/2019
    dans le souffle du vent, n'oublie jamais le murmure de ceux qui t'ont précédés. A.T.
    ©SOUVIENT TOI TOUJOURS, LA GUERRE 1939-1945 POEME DE THOMAS ANDRE©
    Toi, qui le l'a pas vécu,
    Toi, qui ne l'a pas connu,
    Toi, qui n'était pas encore né,
    Lors, de ces dures années.

    Ils ont offert leurs vies,
    Pour que toi, son enfant, ou son petit enfant,
    Tu puisses vivre ta vie,
    Et construire dans la liberté, le chemin de tes enfants.
    Ces hommes, et ces femmes, de France, et de partout,
    Se sont unis, contre le nazisme, venus d’Allemagne,
    Un fléau, contre la vie, et ses atouts,
    Ne laissant que, morts, larmes, ruines, dans les villes et les campagnes.

    Aussi, toi l’enfant, l’adolescent, l’adulte, ou le vieux, qui n’a pas connu ces horreurs,
    Pense que ce n’est pas du cinéma, et que cela a existé en vérité,
    Et que toi, homme, ou femme, êtes capables, de faire de telles horreurs,
    Souvient toi toujours, et ne cherche pas, à éviter, cette triste vérité

    mise à jour le 15-10-2015
    Mise en ligne le 30 août 2010
    Musique "Please Stay" de The Drifters
    Poème DE THOMAS André, auteur,écrivain,poète,
    inspiré par les très belles photos de Martine ANCIAUX photographe d'art,créatrice de la photo-peinture,photo painting,martine anciaux créator of the photo painting,new art of the photo painting,art photographer,
    www.anciaux-photos.fr,www.anciauxmartine.com,
    Cette poésie concerne le vent pendant les quatres saisons printemps,été,automne,hiver en décrivant tantôt ses bienfaits tantôt ses méfaits, sachant que dans chaque pays, et dans chaque hémisphère, un vent avec un nom spécifique soufflera.
    La photo en image fait vivre le mot phonétique, le relançant tel un boomerang pour appuyer la photographie, faisant de ces 2 arts un mariage parfait accentué par la musique afin de pouvoir avoir la possibilité de réver.

    ©LE VENT poème THOMAS André©

    LE PRINTEMPS, il chasse les nuages, et embaume la campagne
    Par des milliers de petits parfums, qui se font jour, même en montagne.
    Il chahute les arbres, et joue avec les fleurs,
    Ne sachant pas, que par sa force, il peut être leurs malheurs.

    L’ETE, sa brise rafraichit souvent l’atmosphère,
    Evitant les méfaits de la chaleur, de notre biosphère.
    Par le mouvement des branches, il arrive à accentuer l’ombre,
    Nous laissant souvent perplexe, sur son utilité et ses ombres.

    L’AUTOMNE, il hurle, et déshabille, ses pauvres arbres,
    Les laissant nus, et sans parure,
    C’est le début, du sommeil de la nature,
    C’est la fin du cycle, de l’arbre.

    L’Hiver, lorsque que tu te dois d’être dehors, il te gifle.
    Te précipitant, vers le plus proche refuge des toitures,
    Te donnant cette mauvaise sensation de froidure.
    Développant le besoin de protection, pour éviter qu’il te cingle.

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