samedi 22 décembre 2018

©ELVISPRESLEY I'LL REMENBER YOU MémoireTHOMAS MartineAnciauxcreatorphoto...

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  1. 22-12-2018
    JOYEUX NOEL A CEUX QUI NE SAVENT PLUS CE QUE VEUT DIRE NOEL DONT IL RAFFOLAIENT TANT DANS LEURS PASSES à tous les malades en maison ou à l'hospital
    MARTINE ANCIAUX & THOMAS André

    THOMAS ANDRE, auteur, écrivain ,poète,
    MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo creator of the photo painting, art photographer,
    http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com
    définition larousse de L’Alzheimer : Affection neurologique chronique,
    d'évolution progressive, caractérisée par une altération cérébrale irréversible
    aboutissant à un état démentiel.
    La maladie d'Alzheimer se traduit par une dégénérescence nerveuse
    d'évolution inéluctable, causée par une diminution du nombre de neurones
    avec atrophie cérébrale et présence de « plaques séniles ».
    Pour moi le poète Thomas andré
    J’ai voulu parler d’une maladie qui touche directement nos souvenirs, notre mémoire ,
    la maladie d’Alzheimer, cette maladie qui nous fait peur, et qu’inexorablement devient dans nos vies
    de plus en plus présentes. Cette peur que nous avons de ne plus nous rappeler de notre vie,
    et de toutes les séquences que nous avons vécu avant d’arriver au terme de notre vie
    ©MEMOIRE POEME THOMAS ANDRE©

    Aussi loin, que je me rappelle,
    Mais déjà, ma mémoire m’interpelle,
    Moi qui pouvait tout mémoriser,
    Je me sens prisonnier, de ce cerveau traumatisé.

    Des neurones qui s’étiolent, et se meurent,
    Des souvenirs qui se perdent de plus en plus,
    Et moi, qui ne comprends plus,
    Attendant la définition d’une maladie, qui fait peur, et on en meurent.

    Alors, dans le peu de vie, qui me reste,
    J’écume mes beaux jours, en vidéos, et je peste,
    De ne plus pouvoir en avoir,
    Car là, malheureusement je n’en ai plus le pouvoir.

    Des sentiments de joie,
    Restent encore en moi,
    Mais une profonde peine aussi est en moi,
    Comment moi, l’imbattable des adresses et des noms, de m’en souvenir je n’en ai plus la joie.

    Aussi ces images, me consolent,
    Et mes yeux de larmes se désolent,
    Ennuyeux de tant souffrir,
    Et pourtant, que me suis-je pas battu pour ne pas en souffrir.

    Jouant au scrabble, et aux jeux de mots,
    Et maintenant, il est des instants, où il me manque ces mots,
    Ceux de l’échange,
    Ceux des conversations, qui se côtoient, et se mélangent.

    Alors petit, profite du moment,
    Vis le intensément,
    Et n’oublies jamais,
    Et je te le redit, que ta mémoire vive, te laisse tes souvenirs à jamais.

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