Pour le commun des mortels, Il y a deux sortes de ballon, Celui des sports collectifs, dont la passion peut être d’un chauvinisme mortel, Ou celui du rêve, par l’élévation de ce ballon.
Actuellement le ballon de football, est la préoccupation mondiale, Quant au ballon dirigeable, il est celui des amoureux de la nature, la vue est primordiale, Nous avons la chance, d’être sur le trajet de ces aérostats, La caractéristique, c’est que même sans le voir, on entend son bruleur, c’est un constat.
A BEAUVAL, c’était un matin de mai vers 7 heures, aux jardins de Beauval, Devant nous, des ballons s’élevaient dans le ciel de Beauval Martine sortit son appareil photo, et intercepta ses images, Elle ne rêvait pas, le spectacle était là, sous ses yeux, ces ballons lui rendaient un hommage.
La pause photo se prolongea, devant ce qui semblait, presqu’un mirage, L’artiste photographe, faisait feu sur tout ce qui bougeait, sans le moindre bavardage, Absorbé par ce show, elle en aurait oublié le café, Catastrophique pour moi français, on ne peut être effectif, sans un bon café.
Ajoutée le 5 juil. 2018
RépondreSupprimerPRESENTATION©HDdiaporama Beauval 30-05-2018 L'homme a toujours voulu Voler
Photo&Photopeinture Anciaux Martine Pensées Thomas André Monde tv Web©
THOMASANDRE,poète,écrivain,
MARTINEANCIAUX,photographed’art,créatricedelaphoto-peinture,creatorphotopainting,
Art 21ème Siècle, art photographer,
Un petit rappel, pour ceux qui aiment le ballon Rond, celui des matches de football,
Demain 16h, FRANCE URUGUAY - ALLEZ LES BLEUS ALLEZ LA FRANCE-
©LES BALLONS POEME DE THOMAS ANDRE©
Pour le commun des mortels,
Il y a deux sortes de ballon,
Celui des sports collectifs, dont la passion peut être d’un chauvinisme mortel,
Ou celui du rêve, par l’élévation de ce ballon.
Actuellement le ballon de football, est la préoccupation mondiale,
Quant au ballon dirigeable, il est celui des amoureux de la nature, la vue est primordiale,
Nous avons la chance, d’être sur le trajet de ces aérostats,
La caractéristique, c’est que même sans le voir, on entend son bruleur, c’est un constat.
A BEAUVAL, c’était un matin de mai vers 7 heures, aux jardins de Beauval,
Devant nous, des ballons s’élevaient dans le ciel de Beauval
Martine sortit son appareil photo, et intercepta ses images,
Elle ne rêvait pas, le spectacle était là, sous ses yeux, ces ballons lui rendaient un hommage.
La pause photo se prolongea, devant ce qui semblait, presqu’un mirage,
L’artiste photographe, faisait feu sur tout ce qui bougeait, sans le moindre bavardage,
Absorbé par ce show, elle en aurait oublié le café,
Catastrophique pour moi français, on ne peut être effectif, sans un bon café.