J'ai voulu comparait les 4 saisons de la nature avec celle des hommes, Printemps, jeunesse, ETE, adulte, automne, le 3eme age, l'hiver, la vieillesse. Et le temps inexorable, qui nous approche du dernier souffle.
Le printemps et ses bonheurs, L'été et ses chaleurs, L'automne et ses couleurs, Et l'hiver, sa brume et ses flocons de blancheurs,
4 saisons, qui pourraient ressembler à notre vie, Comme la nature, l'homme passe par des cycles de vie, Allant du tout jeune âge, A la fin de son passage sur terre, en laissant des images,
Que l'on nomme portraits, en peinture, Photos, sur ces appareils miniatures, Qui peuvent être des mobiles, Ou des appareils photos, pour des gens passionnés et habiles.
Prenons le temps, de divulguer mon idée, Celle qui consiste, à établir des liens, Entre mère nature, et nous même, comme ces massifs coralliens, Servant de nourriture, à cette faune marine, sans qu'on ne s'en fasse à l'idée.
Le printemps, serait de la naissance à l'adolescence, Avec toute sa verve et son effervescence, Ses miroirs de vie, par ses fleurs naissantes, Et tout ce tourbillon de cette nature renaissante.
L'été, serait l'adulte, et sa maturité de conscience, La pleine force de l'homme, et la connaissance des sciences, La récolte des travaux de la jeunesse studieuse, Pour se créer une vie délicieuse,
L'automne, serait le début des premiers soucis de santé et de douleurs, Mais aussi la plénitude des bonheurs, Listant avec sa femme, les souvenirs du temps passé, Et évoquant avec joie ces moments du passé
L'hiver, la fin de la vie, et la solitude, pour enfin partir sans terreurs. L'outrage des ans à notre corps endolori, Par la rudesse de la vie, qui nous a meurtri, Laissant ça et là, la marque de nos frayeurs.
Alors, en paix, et en recherche de spiritualité, Nous emprunterons des chemins de vérité, Pour que notre vie, soit un beau livre à consulter, Eloignant nos erreurs, que nous n'avons pas su négocier, ni même occulter.
le 08-03-2015
RépondreSupprimermise à jour,titre,tags, présentation de ce photo-poème
©ComparaisonodeThomasandréphotophotopeintureMartineAnciauxMusiquePaulDecomble webmondetvartculture©
Ajoutée le 30 mai 2013
THOMAS ANDRE,poète,écrivain,auteur, http://thomasandre.orgfree.com/poemes.html,
MARTINE ANCIAUX, photographe d’art,et créatrice de la photo-peinture, photo painting,
Martine ANCIAUX creator of the photo painting. new art of the photo painting, art photographer,
http://www.anciaux-photos.fr, http://www.anciauxmartine.com,
Musique de PAUL DECOMBLE
J'ai voulu comparait les 4 saisons de la nature avec celle des hommes,
Printemps, jeunesse, ETE, adulte, automne, le 3eme age, l'hiver, la vieillesse.
Et le temps inexorable, qui nous approche du dernier souffle.
©COMPARAISON POEME DE THOMAS ANDRE©
Le printemps et ses bonheurs,
L'été et ses chaleurs,
L'automne et ses couleurs,
Et l'hiver, sa brume et ses flocons de blancheurs,
4 saisons, qui pourraient ressembler à notre vie,
Comme la nature, l'homme passe par des cycles de vie,
Allant du tout jeune âge,
A la fin de son passage sur terre, en laissant des images,
Que l'on nomme portraits, en peinture,
Photos, sur ces appareils miniatures,
Qui peuvent être des mobiles,
Ou des appareils photos, pour des gens passionnés et habiles.
Prenons le temps, de divulguer mon idée,
Celle qui consiste, à établir des liens,
Entre mère nature, et nous même, comme ces massifs coralliens,
Servant de nourriture, à cette faune marine, sans qu'on ne s'en fasse à l'idée.
Le printemps, serait de la naissance à l'adolescence,
Avec toute sa verve et son effervescence,
Ses miroirs de vie, par ses fleurs naissantes,
Et tout ce tourbillon de cette nature renaissante.
L'été, serait l'adulte, et sa maturité de conscience,
La pleine force de l'homme, et la connaissance des sciences,
La récolte des travaux de la jeunesse studieuse,
Pour se créer une vie délicieuse,
L'automne, serait le début des premiers soucis de santé et de douleurs,
Mais aussi la plénitude des bonheurs,
Listant avec sa femme, les souvenirs du temps passé,
Et évoquant avec joie ces moments du passé
L'hiver, la fin de la vie, et la solitude, pour enfin partir sans terreurs.
L'outrage des ans à notre corps endolori,
Par la rudesse de la vie, qui nous a meurtri,
Laissant ça et là, la marque de nos frayeurs.
Alors, en paix, et en recherche de spiritualité,
Nous emprunterons des chemins de vérité,
Pour que notre vie, soit un beau livre à consulter,
Eloignant nos erreurs, que nous n'avons pas su négocier, ni même occulter.