Comme ce chien, qui hurle dans la nuit, Comme ce cheval, seul dans sa prairie, Comme cette vache, qui te regarde, car elle s’ennuie, Comme tout un chacun, tu connais la mélancolie.
Toi, qui était habitué, à ce qu’elle soit là, Aujourd’hui, tu regrettes ce temps là, Les engueulades, comme les rires, A l’instant, il n’y a même plus de sourires.
Et tu écoutes, cette musique, Et comme un fou, tu chantes ces harmoniques, Balbutiant, au travers de tes pleurs, Tout ce temps, que t’accompagne tes douleurs.
Dans la tombée du soir, Tu te retrouves seul, comme dans un miroir, Cherchant au travers, de l’appartement, Si elle n’est pas là, dans cet immense appartement.
Mais non, tu ronges ta peur, Celle de ne plus la revoir, quelle terreur, Tu te hasardes, prés du pick-up, qui joue un de ces airs préférés, Comme ci cela pouvait, la faire revenir, et retrouvé ta bien aimée, ta préféré.
Alanguit par les notes, de ces belles chansons, Tu te laisses aller, dans ton chagrin, Depuis qu’elle n’est plus là, tu as perdu ton chemin, Et même la vie, n’est plus à tes yeux, cette douce chanson.
Alors, comme un somnambule, Dans ces pièces, tu déambules, Cherchant ton trésor disparut, Et auquel comme un naufragé, tu cherches, cette disparut.
Regardant lentement, les notes qui s’enfuient, Et loin d'elle, aujourd’hui encore, tu la poursuis. Tu erres, dans le noir, Comme tu le fais, chaque soir.
Ta puissance à oublier le malheur, s’est tarit, Et tu as beau te raisonner, s’en est ainsi, Comme un homme, qui n’a plus de but, Tu es devenu esclave, de ta mélancolie, dans quel but ?
©MELANCOLIE POEME THOMAS ANDRE©
RépondreSupprimerComme ce chien, qui hurle dans la nuit,
Comme ce cheval, seul dans sa prairie,
Comme cette vache, qui te regarde, car elle s’ennuie,
Comme tout un chacun, tu connais la mélancolie.
Toi, qui était habitué, à ce qu’elle soit là,
Aujourd’hui, tu regrettes ce temps là,
Les engueulades, comme les rires,
A l’instant, il n’y a même plus de sourires.
Et tu écoutes, cette musique,
Et comme un fou, tu chantes ces harmoniques,
Balbutiant, au travers de tes pleurs,
Tout ce temps, que t’accompagne tes douleurs.
Dans la tombée du soir,
Tu te retrouves seul, comme dans un miroir,
Cherchant au travers, de l’appartement,
Si elle n’est pas là, dans cet immense appartement.
Mais non, tu ronges ta peur,
Celle de ne plus la revoir, quelle terreur,
Tu te hasardes, prés du pick-up, qui joue un de ces airs préférés,
Comme ci cela pouvait, la faire revenir, et retrouvé ta bien aimée, ta préféré.
Alanguit par les notes, de ces belles chansons,
Tu te laisses aller, dans ton chagrin,
Depuis qu’elle n’est plus là, tu as perdu ton chemin,
Et même la vie, n’est plus à tes yeux, cette douce chanson.
Alors, comme un somnambule,
Dans ces pièces, tu déambules,
Cherchant ton trésor disparut,
Et auquel comme un naufragé, tu cherches, cette disparut.
Regardant lentement, les notes qui s’enfuient,
Et loin d'elle, aujourd’hui encore, tu la poursuis.
Tu erres, dans le noir,
Comme tu le fais, chaque soir.
Ta puissance à oublier le malheur, s’est tarit,
Et tu as beau te raisonner, s’en est ainsi,
Comme un homme, qui n’a plus de but,
Tu es devenu esclave, de ta mélancolie, dans quel but ?