Comme un seul homme, le son distinguant les instruments, se fondent, En une harmonie savante, pour produire des musiques, qui abondent Vers un rythme dansant, Et qui se répercute, dans la douceur de la nuit imprégnant
De mélodies, cette douce soirée, Entraînant en cadence, la foule venue pour passer, une bonne soirée, Enchaînant les succès populaires, Où la chanteuse, avec entrain chante ses airs populaires.
Moi qui suis là, vibre aux accents de ses mélopées, Me balançant en cadence, par ses chansons développées. Je suis dans la danse, fléchissant mon corps en puissance, Pour me laisser pénétrer par avance,
Par cette chaude ambiance, Qui nous galvanise et nous envoûte, Nous entraînant vers la route De la musique rythmique, qui nous captive en nous chantant avec arrogance,
Nos musiques d’antan, alors, comme ébloui par le spectacle, Je me donne moi-même en spectacle, Ignorant la retenue, que seule la musique Peut ôter, pour nous amener vers une liberté physique,
Celle morale, s’étant éclipsé aux premières notes, Quand l’orchestre a jouait, mes airs romantiques, M’enveloppant de mes sentiments, gardés en mémoires, nostalgiques Et pleine de regret, de mes histoires inachevées, sur ces même notes.
Ensuite, quand la nuit s’avança, vers le jour, Je repartis dans ma réalité, avec mes nouveaux atours, Enflammé, par cette si bonne soirée, Qui grâce à cet orchestre, m’avait ma jeunesse remémorée.
©L’ORCHESTRE POEME THOMAS ANDRE©
RépondreSupprimerComme un seul homme, le son distinguant les instruments, se fondent,
En une harmonie savante, pour produire des musiques, qui abondent
Vers un rythme dansant,
Et qui se répercute, dans la douceur de la nuit imprégnant
De mélodies, cette douce soirée,
Entraînant en cadence, la foule venue pour passer, une bonne soirée,
Enchaînant les succès populaires,
Où la chanteuse, avec entrain chante ses airs populaires.
Moi qui suis là, vibre aux accents de ses mélopées,
Me balançant en cadence, par ses chansons développées.
Je suis dans la danse, fléchissant mon corps en puissance,
Pour me laisser pénétrer par avance,
Par cette chaude ambiance,
Qui nous galvanise et nous envoûte,
Nous entraînant vers la route
De la musique rythmique, qui nous captive en nous chantant avec arrogance,
Nos musiques d’antan, alors, comme ébloui par le spectacle,
Je me donne moi-même en spectacle,
Ignorant la retenue, que seule la musique
Peut ôter, pour nous amener vers une liberté physique,
Celle morale, s’étant éclipsé aux premières notes,
Quand l’orchestre a jouait, mes airs romantiques,
M’enveloppant de mes sentiments, gardés en mémoires, nostalgiques
Et pleine de regret, de mes histoires inachevées, sur ces même notes.
Ensuite, quand la nuit s’avança, vers le jour,
Je repartis dans ma réalité, avec mes nouveaux atours,
Enflammé, par cette si bonne soirée,
Qui grâce à cet orchestre, m’avait ma jeunesse remémorée.