Depuis tout jeune, après avoir vu le dessin animé de WALT DISNEY, J’ai toujours eu en tête, la réflexion pendant son apprentissage de BAMBI, Lorsque Pam Pam, apprend au jeune faon BAMBI, Le mot oiseau, et depuis je n’ai jamais plus loupé un WALT DISNEY.
Il eut plus tard le film d’HITCHCOCK, Une dramaturgie sur le rôle négatif des oiseaux, Où la tension monte à l’extrême, lorsque l’on voit ces noirs oiseaux, Des corbeaux, attaquant des humains, avec le suspense à la HITCHOCK.
Voilà comment on peut s’orienter vers des approches différentes, Entre temps il y a ces documentaires sur leurs vies, Celles qui nous éblouissent par leurs fragilités évidentes, Celles où tout n’est que de la survie.
La photographe a une démarche totalement opposée, De celle des réalisateurs de films grand public, Il n’y a pas le bon ou le mauvais, il y a l’image à offrir au public, Magnifique, surprenante, extravagante, mais parfaite à la réalité pour être juxtaposée.
Ici tout se joue, à la patience ou à l’instantané, C’est là la difficulté pour son cliché, Le moindre bruit, ou attitude disproportionnée et fini ce somptueux cliché, Que l’on a attendu pendant longtemps pour être sûr de réussir cet instantanné.
Alors seulement le chasseur d’images va sévir, L’instant primordial pour pouvoir agir, Et voir l’animal dans son milieu, Où en adaptation dans un autre milieu.
Ici, l’action est importante, Voir l’oiseau dans ses attitudes, Pour le voir vivre dans ses habitudes, Celles qui nous rendent sur lui, si informante.
Et là, une synthèse s’amorce, Le raisonnement se corse, Comment juger de la gentillesse, Ou bien de sa méchanceté sans faiblesse.
Je crois que tout est une question de territoire, Si on empiète sur son territoire, Alors le volatile attaque, Mais en respectant cette zone, l’oiseau se laisse approcher sans aucune attaque. AMICALEMENT THOMAS ANDRE
©LES OISEAUX THOMAS ANDRE©
RépondreSupprimerDepuis tout jeune, après avoir vu le dessin animé de WALT DISNEY,
J’ai toujours eu en tête, la réflexion pendant son apprentissage de BAMBI,
Lorsque Pam Pam, apprend au jeune faon BAMBI,
Le mot oiseau, et depuis je n’ai jamais plus loupé un WALT DISNEY.
Il eut plus tard le film d’HITCHCOCK,
Une dramaturgie sur le rôle négatif des oiseaux,
Où la tension monte à l’extrême, lorsque l’on voit ces noirs oiseaux,
Des corbeaux, attaquant des humains, avec le suspense à la HITCHOCK.
Voilà comment on peut s’orienter vers des approches différentes,
Entre temps il y a ces documentaires sur leurs vies,
Celles qui nous éblouissent par leurs fragilités évidentes,
Celles où tout n’est que de la survie.
La photographe a une démarche totalement opposée,
De celle des réalisateurs de films grand public,
Il n’y a pas le bon ou le mauvais, il y a l’image à offrir au public,
Magnifique, surprenante, extravagante, mais parfaite à la réalité pour être juxtaposée.
Ici tout se joue, à la patience ou à l’instantané,
C’est là la difficulté pour son cliché,
Le moindre bruit, ou attitude disproportionnée et fini ce somptueux cliché,
Que l’on a attendu pendant longtemps pour être sûr de réussir cet instantanné.
Alors seulement le chasseur d’images va sévir,
L’instant primordial pour pouvoir agir,
Et voir l’animal dans son milieu,
Où en adaptation dans un autre milieu.
Ici, l’action est importante,
Voir l’oiseau dans ses attitudes,
Pour le voir vivre dans ses habitudes,
Celles qui nous rendent sur lui, si informante.
Et là, une synthèse s’amorce,
Le raisonnement se corse,
Comment juger de la gentillesse,
Ou bien de sa méchanceté sans faiblesse.
Je crois que tout est une question de territoire,
Si on empiète sur son territoire,
Alors le volatile attaque,
Mais en respectant cette zone, l’oiseau se laisse approcher sans aucune attaque.
AMICALEMENT THOMAS ANDRE