J’ai eus dernièrement, une grosse discussion avec mon ordinateur, En effet, monsieur, faisait des caprices, se comportant comme un ordonnateur. Je décidais, d’avoir une discussion franche avec lui, J’en avais assez, d’être toujours en retard, dans mes mails à cause de lui.
La discussion fût vive, et directe, Mes reproches l’affectaient pleinement, Et ne lui laisser pas le temps, de l’atermoiement, Il était touché, je ne devais pas m’appesantir, pour que mes remarques soient correctes.
Car, vraiment il avait abusé, de ces prérogatives, Souvent, il m’arrivait d’écrire un nom, lui il en mettait un autre avec sa mémoire active, Alors énervé, je l’engueulais, Casse cela ne tienne, presque aussitôt, il recommençait.
Au point, que nous fûmes au bord de la rupture, Ces incartades étaient légions, cela sonnaient le glas de la fracture, Comment pouvais je me laisser intimider, par cette machine, Comment ne pouvais je la raisonner, et asservir ma machine.
Nos conflits étaient fréquents, Et se déroulaient souvent, en pleins échanges avec mes correspondants, Au point, que de nombreuses fautes se détectaient sur mes courriels, évidemment, J’étais hors de moi, je le traitais de tous les noms prépondérants,
Cherchant à le vexer, pour qu’il puisse se remettre dans les droits chemins, J’étais outré, par sa constance à se fourvoyer, loin de la rectitude des anciens parchemins, Comment étais ce possible, un engin du 21eme siècle non domestiqué, Faisait sa loi dans ma maison avec ses manies sophistiquées.
Je pensais que le modernisme, Etais l’ami de l’homme, non le machiavélisme, Je ne savais plus quoi en faire, Je pensais qu’il faudrait s’en défaire,
Mais avec un instinct de conservation, Pour celui, auquel j’avais beaucoup d’affection, Je me creusais la tête, pour trouver une solution, Viable pour nous deux, et mon addiction.
Comment pourrais je me séparer, de celui avec qui souvent je partageais les nuits, Nous livrant a mes amours la poésie qui s’écrit sans bruits, D’où la lumière de la nuit, Pour éclairer de mots mon écran, Et créer comme un lien sacré qui finaliserait mon poème sur ce fabuleux écran.
Vous voyez ma décision n’était pas simple, J’optais pour le contrôle technique, Qui me permettrais de sauver mon jouet si technique, Bien m’en a pris, il fût réparé et est devenu avec moi bien plus simple.
Rien ne sert de jeter, Avant d’avoir tout tenté, Pour pouvoir tout vérifier, Et exprimais un diagnostic, auquel on n’avait pas pensé.
©MON ORDINATEUR POEME THOMAS ANDRE©
RépondreSupprimerJ’ai eus dernièrement, une grosse discussion avec mon ordinateur,
En effet, monsieur, faisait des caprices, se comportant comme un ordonnateur.
Je décidais, d’avoir une discussion franche avec lui,
J’en avais assez, d’être toujours en retard, dans mes mails à cause de lui.
La discussion fût vive, et directe,
Mes reproches l’affectaient pleinement,
Et ne lui laisser pas le temps, de l’atermoiement,
Il était touché, je ne devais pas m’appesantir, pour que mes remarques soient correctes.
Car, vraiment il avait abusé, de ces prérogatives,
Souvent, il m’arrivait d’écrire un nom, lui il en mettait un autre avec sa mémoire active,
Alors énervé, je l’engueulais,
Casse cela ne tienne, presque aussitôt, il recommençait.
Au point, que nous fûmes au bord de la rupture,
Ces incartades étaient légions, cela sonnaient le glas de la fracture,
Comment pouvais je me laisser intimider, par cette machine,
Comment ne pouvais je la raisonner, et asservir ma machine.
Nos conflits étaient fréquents,
Et se déroulaient souvent, en pleins échanges avec mes correspondants,
Au point, que de nombreuses fautes se détectaient sur mes courriels, évidemment,
J’étais hors de moi, je le traitais de tous les noms prépondérants,
Cherchant à le vexer, pour qu’il puisse se remettre dans les droits chemins,
J’étais outré, par sa constance à se fourvoyer, loin de la rectitude des anciens parchemins,
Comment étais ce possible, un engin du 21eme siècle non domestiqué,
Faisait sa loi dans ma maison avec ses manies sophistiquées.
Je pensais que le modernisme,
Etais l’ami de l’homme, non le machiavélisme,
Je ne savais plus quoi en faire,
Je pensais qu’il faudrait s’en défaire,
Mais avec un instinct de conservation,
Pour celui, auquel j’avais beaucoup d’affection,
Je me creusais la tête, pour trouver une solution,
Viable pour nous deux, et mon addiction.
Comment pourrais je me séparer, de celui avec qui souvent je partageais les nuits,
Nous livrant a mes amours la poésie qui s’écrit sans bruits,
D’où la lumière de la nuit,
Pour éclairer de mots mon écran,
Et créer comme un lien sacré qui finaliserait mon poème sur ce fabuleux écran.
Vous voyez ma décision n’était pas simple,
J’optais pour le contrôle technique,
Qui me permettrais de sauver mon jouet si technique,
Bien m’en a pris, il fût réparé et est devenu avec moi bien plus simple.
Rien ne sert de jeter,
Avant d’avoir tout tenté,
Pour pouvoir tout vérifier,
Et exprimais un diagnostic, auquel on n’avait pas pensé.