Vaste mot, pour une terrible inconnue, Une infinité de points, que l’on nomme étoiles, Et qui illuminent, par temps clair, notre voie lactée si belle et si peu connue. Et c’est, dans un observatoire que des scientifiques classent ces étoiles.
L’homme s’est toujours intéressé aux astres, Souvent cela était observé et annonçait des désastres, De notre antiquité, à nos jours, la peur est toujours venue du ciel, Voyons nos guerres, et ces fameux bombardements, venus du ciel.
A l’heure actuelle, c’est la chute d’une météorite qui nous préoccupe, Celle-ci pourrait venir s’écraser sur terre, Ne laissant que ruines, et peu de vie, sur notre terre, Ces scénarios catastrophes, sont souvent le temps plein, des savants qui s’en occupent.
Il y a bien longtemps, au 20ème siècle, Des hommes, envoyèrent d’autres hommes dans la lune, Ecartant de nos rêves, la devenue accessible lune, Nos proverbes, et nos chansons, devinrent d’un autre temps, d’un autre siècle.
Alors, on se rappela, des petits bonhommes verts, Contrairement à la légende, ce ne sont pas les écologistes, les verts, Ceux-ci ont préféré, s’approprier le terme de la couleur non prouvée, des martiens, Jetant à bas toute originalité de ces drôles de terriens.
Alors, l’homme commença une course à l’espace, Cherchant, par tous les moyens, de pouvoir acquérir dans le ciel, des nouveaux territoires, Démarche, d’abord militaire, puis civile, avec le télescope de l’espace Hubble, développements méritoires. Grâce à lui, notre connaissance de notre galaxie, fit un bond, et il nous donna des photos de l’espace.
Il s’appropria le soleil, En inventant des panneaux solaires, La température, et la distance, de notre étoile, empêchant les explorations stellaires. Nous pouvons encore nous pâmer, devant notre soleil.
L’homme, est le fruit de nombreuses contradictions, Sa soif de découvrir, lui fait miroiter, maintes solutions, L’engageant dans des défis, qui paraissent insurmontables, Et pourtant, qu'ils finissent par rendre surmontables.
Mais il y a l’autre aspect, celui du romantique, De l’éternel rêveur, du nostalgique, L’amoureux du beau, et de la nature, A qui le progrès, fait place à de la forfaiture.
Où est la vérité, Et existe t-elle en fait, sans nous irriter notre volonté, Moi qui vous écris, ne le sais point, Peut être que vous si, alors éclairez moi sur ce point.
©L’UNIVERS©THOMAS ANDRE
RépondreSupprimerVaste mot, pour une terrible inconnue,
Une infinité de points, que l’on nomme étoiles,
Et qui illuminent, par temps clair, notre voie lactée si belle et si peu connue.
Et c’est, dans un observatoire que des scientifiques classent ces étoiles.
L’homme s’est toujours intéressé aux astres,
Souvent cela était observé et annonçait des désastres,
De notre antiquité, à nos jours, la peur est toujours venue du ciel,
Voyons nos guerres, et ces fameux bombardements, venus du ciel.
A l’heure actuelle, c’est la chute d’une météorite qui nous préoccupe,
Celle-ci pourrait venir s’écraser sur terre,
Ne laissant que ruines, et peu de vie, sur notre terre,
Ces scénarios catastrophes, sont souvent le temps plein, des savants qui s’en occupent.
Il y a bien longtemps, au 20ème siècle,
Des hommes, envoyèrent d’autres hommes dans la lune,
Ecartant de nos rêves, la devenue accessible lune,
Nos proverbes, et nos chansons, devinrent d’un autre temps, d’un autre siècle.
Alors, on se rappela, des petits bonhommes verts,
Contrairement à la légende, ce ne sont pas les écologistes, les verts,
Ceux-ci ont préféré, s’approprier le terme de la couleur non prouvée, des martiens,
Jetant à bas toute originalité de ces drôles de terriens.
Alors, l’homme commença une course à l’espace,
Cherchant, par tous les moyens, de pouvoir acquérir dans le ciel, des nouveaux territoires,
Démarche, d’abord militaire, puis civile, avec le télescope de l’espace Hubble, développements méritoires.
Grâce à lui, notre connaissance de notre galaxie, fit un bond, et il nous donna des photos de l’espace.
Il s’appropria le soleil,
En inventant des panneaux solaires,
La température, et la distance, de notre étoile, empêchant les explorations stellaires.
Nous pouvons encore nous pâmer, devant notre soleil.
L’homme, est le fruit de nombreuses contradictions,
Sa soif de découvrir, lui fait miroiter, maintes solutions,
L’engageant dans des défis, qui paraissent insurmontables,
Et pourtant, qu'ils finissent par rendre surmontables.
Mais il y a l’autre aspect, celui du romantique,
De l’éternel rêveur, du nostalgique,
L’amoureux du beau, et de la nature,
A qui le progrès, fait place à de la forfaiture.
Où est la vérité,
Et existe t-elle en fait, sans nous irriter notre volonté,
Moi qui vous écris, ne le sais point,
Peut être que vous si, alors éclairez moi sur ce point.
LES ETOILES NOTRE PASSE ET POURTANT COMMENT EN AVOIR LA PREUVE SI ON NE VAS PAS LA DECOUVRIR
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